En France, la gastronomie est une deuxième nature. C'est du moins ce qu'en pensent les étrangers, car à voir la fréquentation des fast food, on rigole grassement. Ainsi s'offusque ce film, qui s'attaque surtout à un autre grand danger menaç
ant nos assiettes : la fausse grande cuisine, alias cuisine moléculaire, née il y a environ vingt ans dans un obscur laboratoire franco-britannique.
Tout dans le film respire les grandes saveurs. On emploie le langage de la bouche, on s'extasie sur les oignons fris et on s'indigne devant les burgers comme le bon vieux con de droite que je suis. Un vrai bonheur !
On redécouvre la finesse de la grande gastronomie et on se prend au jeu de vouloir faire son marché, d'apprendre à goûter les fruits et légumes et de savoir mêler les délices.
De plus, tout ce bon esprit s'incarne dans une petite comédie bien sympathique dont Jean Reno ressort grandi tandis que Michael Youn, qui a bien du mal à jouer les attendrissants sans avoir l'air niais, nous épargne cette fois la vue de ses grosses
fesses blanches. A noter également : la présence de la jolie Raphaëlle Agogué qui, en plus d'avoir un très joli prénom, fait une belle sortie au cinéma pour sa deuxième affiche dans la même semaine (à côté de A l'aveugle, sorti en même temps).
Difficile donc de s'ennuyer devant la fraîcheur de ce film qui fleure bon la France et ses saveurs, d'autant que la pellicule est entièrement lavée de toute scène érotique ou ultra violente.
Allez donc vous en payer une bonne tranche pendant que je vais me faire cuire un œuf, avec un peu de romarin pour changer...
En France, la gastronomie est une deuxième nature. C'est du moins ce qu'en pensent les étrangers, car à voir la fréquentation des fast food, on rigole grassement. Ainsi s'offusque ce film, qui s'attaque surtout à un autre grand danger menaç ant nos assiettes : la fausse grande cuisine, alias cuisine moléculaire, née il y a environ vingt ans dans un obscur laboratoire franco-britannique.
Tout dans le film respire les grandes saveurs. On emploie le langage de la bouche, on s'extasie sur les oignons fris et on s'indigne devant les burgers comme le bon vieux con de droite que je suis. Un vrai bonheur !
On redécouvre la finesse de la grande gastronomie et on se prend au jeu de vouloir faire son marché, d'apprendre à goûter les fruits et légumes et de savoir mêler les délices.
De plus, tout ce bon esprit s'incarne dans une petite comédie bien sympathique dont Jean Reno ressort grandi tandis que Michael Youn, qui a bien du mal à jouer les attendrissants sans avoir l'air niais, nous épargne cette fois la vue de ses grosses fesses blanches. A noter également : la présence de la jolie Raphaëlle Agogué qui, en plus d'avoir un très joli prénom, fait une belle sortie au cinéma pour sa deuxième affiche dans la même semaine (à côté de A l'aveugle, sorti en même temps).
Difficile donc de s'ennuyer devant la fraîcheur de ce film qui fleure bon la France et ses saveurs, d'autant que la pellicule est entièrement lavée de toute scène érotique ou ultra violente.
Allez donc vous en payer une bonne tranche pendant que je vais me faire cuire un œuf, avec un peu de romarin pour changer...