C’est « sâmpah »… et même « très sââmpah » !... [à prononcer avec l’accent chinois !...]
Jolie petite comédie jouée avec humour, charme, et émotion par le beau duo pétillant que forment Alice Taglioni et Virginie Efira.
Un petit garçon « abandonné » en terre étrangère, et toute une famille en est bouleversée : chacun des membres de cette famille instable mais cependant unie, trouve un moyen de se décarcasser, de se dépasser pour rendre ce petit Chinois au bonheur qu’il a si injustement perdu. Et cette volonté de rendre service à autrui leur rend finalement service à tous : le dépassement de soi, le courage, l’altruisme, la solidarité leur permettront à tous de faire un grand pas dans leur vie qui semblait jusqu’alors bloquée dans les impasses des non-dits et du train-train quotidien.
C’est beau, c’est touchant, mais on reste tout de même sur notre faim.
Quid des relations matrimoniales et des problèmes de cœur de Delphine et des conseils que lui donne Alice à ce propos ? conseils qui sont loin d’être la voix de la sagesse et la clé du bonheur….
Quid de la relation père/fille, qui reste caricaturale et survolée ?
On notera enfin la critique sous-jacente à l’égard de l’expulsion des sans-papiers, qui, comme dans Mes Héros d’Eric Besnard, nous est forcément présentée, de par le scénario, comme un crime éhonté – insensé celui qui oserait penser le contraire, après cette si déchirante histoire…
C’est « sâmpah »… et même « très sââmpah » !... [à prononcer avec l’accent chinois !...]
Jolie petite comédie jouée avec humour, charme, et émotion par le beau duo pétillant que forment Alice Taglioni et Virginie Efira.
Un petit garçon « abandonné » en terre étrangère, et toute une famille en est bouleversée : chacun des membres de cette famille instable mais cependant unie, trouve un moyen de se décarcasser, de se dépasser pour rendre ce petit Chinois au bonheur qu’il a si injustement perdu. Et cette volonté de rendre service à autrui leur rend finalement service à tous : le dépassement de soi, le courage, l’altruisme, la solidarité leur permettront à tous de faire un grand pas dans leur vie qui semblait jusqu’alors bloquée dans les impasses des non-dits et du train-train quotidien.
C’est beau, c’est touchant, mais on reste tout de même sur notre faim.
Quid des relations matrimoniales et des problèmes de cœur de Delphine et des conseils que lui donne Alice à ce propos ? conseils qui sont loin d’être la voix de la sagesse et la clé du bonheur….
Quid de la relation père/fille, qui reste caricaturale et survolée ?
On notera enfin la critique sous-jacente à l’égard de l’expulsion des sans-papiers, qui, comme dans Mes Héros d’Eric Besnard, nous est forcément présentée, de par le scénario, comme un crime éhonté – insensé celui qui oserait penser le contraire, après cette si déchirante histoire…