De plus belle raconte l’histoire d’une femme quarantenaire confrontée au cancer du sein. Fauchée par le sort, Lucie voit perdre tout sens à sa vie jusqu’à ce qu’elle rencontre une professeure de danse qui va lui redonner le goût des relations humaines et l’envie de se réapproprier sa féminité.
A la recherche des moments d’émotion où la femme découvre sa vocation et où elle se donne au monde, le film tricote tranquillement ses longueurs, pâtissant de l’excès de popularité de Florence Foresti et de Mathieu Kassovitz. Les deux endossent leur rôle sans trop dévier de leurs répertoires habituels, elle jouant cette Lucie désabusée par sa maladie mais brillant comme toujours par son autodérision, blagues à la clé, lui endossant le costume de ce Clovis playboy admettant pour une fois son complexe égocentrique.
Malgré ce manque de fraîcheur et de renouvellement au casting, De plus belle parvient dans quelques sursauts de réalisme à peindre de plusieurs sourires la vie désenchantée à laquelle se croient irrémédiablement condamnées les personnes atteintes de maladies graves.
De plus belle raconte l’histoire d’une femme quarantenaire confrontée au cancer du sein. Fauchée par le sort, Lucie voit perdre tout sens à sa vie jusqu’à ce qu’elle rencontre une professeure de danse qui va lui redonner le goût des relations humaines et l’envie de se réapproprier sa féminité.
A la recherche des moments d’émotion où la femme découvre sa vocation et où elle se donne au monde, le film tricote tranquillement ses longueurs, pâtissant de l’excès de popularité de Florence Foresti et de Mathieu Kassovitz. Les deux endossent leur rôle sans trop dévier de leurs répertoires habituels, elle jouant cette Lucie désabusée par sa maladie mais brillant comme toujours par son autodérision, blagues à la clé, lui endossant le costume de ce Clovis playboy admettant pour une fois son complexe égocentrique.
Malgré ce manque de fraîcheur et de renouvellement au casting, De plus belle parvient dans quelques sursauts de réalisme à peindre de plusieurs sourires la vie désenchantée à laquelle se croient irrémédiablement condamnées les personnes atteintes de maladies graves.