Curieusement, la star du film d’action américain des années 1980, Sylvester Stallone, n’avait encore jamais collaboré avec le réalisateur phare de film d’action américain des années 1980. Une collaboration qui aurait pu avoir lieu dès 1977 et qui est désormais chose faite !
Ces deux figures du cinéma bourrin sont réunies pour l’adaptation au cinéma de la bande dessinée éponyme d’Alexis Nolent (un français !). Sly interprète un tueur à gage cherchant à se venger de ceux qui l’ont piégé et ont tué son partenaire ; il doit faire équipe avec un policier asiatique enquêtant sur la mort de son partenaire. Un buddy-movie des plus classiques donc.
De fait, le film est un festival de clichés et d’invraisemblances. Walter Hill, qui retrouve son producteur habituel Joel Silver (48 heures, Les guerriers de la nuit) semble ravi de revenir au cinéma plus de dix ans après Un seul deviendra invincible et donne tout dans l’action tonitruante et sans temps mort. Cela reste un divertissement convenable et rythmé, mais affreusement banal et prévisible. On attendait mieux de la part du roi du cinéma de divertissement de l’Amérique de Reagan !
Seul Jason Momoa (Games of Thrones, Conan) étoffe un peu l’histoire avec son personnage de tueur psychopathe incontrôlable. Et il reste quand même gênant d’avoir comme héros un tueur à gage (mais un gentil tueur, façon Léon de Luc Besson) ayant commis plusieurs crimes qu’il ne regrette nullement. Quant au dilemme moral qui se pose entre lui et son partenaire de circonstance - policier attaché à la légalité - il sera rapidement évacué de quelques coups de gros calibres bien placés. Après tout, on est au cinéma pour se divertir !
Curieusement, la star du film d’action américain des années 1980, Sylvester Stallone, n’avait encore jamais collaboré avec le réalisateur phare de film d’action américain des années 1980. Une collaboration qui aurait pu avoir lieu dès 1977 et qui est désormais chose faite !
Ces deux figures du cinéma bourrin sont réunies pour l’adaptation au cinéma de la bande dessinée éponyme d’Alexis Nolent (un français !). Sly interprète un tueur à gage cherchant à se venger de ceux qui l’ont piégé et ont tué son partenaire ; il doit faire équipe avec un policier asiatique enquêtant sur la mort de son partenaire. Un buddy-movie des plus classiques donc.
De fait, le film est un festival de clichés et d’invraisemblances. Walter Hill, qui retrouve son producteur habituel Joel Silver (48 heures, Les guerriers de la nuit) semble ravi de revenir au cinéma plus de dix ans après Un seul deviendra invincible et donne tout dans l’action tonitruante et sans temps mort. Cela reste un divertissement convenable et rythmé, mais affreusement banal et prévisible. On attendait mieux de la part du roi du cinéma de divertissement de l’Amérique de Reagan !
Seul Jason Momoa (Games of Thrones, Conan) étoffe un peu l’histoire avec son personnage de tueur psychopathe incontrôlable. Et il reste quand même gênant d’avoir comme héros un tueur à gage (mais un gentil tueur, façon Léon de Luc Besson) ayant commis plusieurs crimes qu’il ne regrette nullement. Quant au dilemme moral qui se pose entre lui et son partenaire de circonstance - policier attaché à la légalité - il sera rapidement évacué de quelques coups de gros calibres bien placés. Après tout, on est au cinéma pour se divertir !