Des larmes et du sang est un film de guerre intense qui laisse un arrière-goût amer. En effet, le réalisme des combats a été poussé à son paroxysme, il en ressort donc une violence extrême et impitoyable. Violence physique mais aussi psychologique, on est projeté dans un face-à-face cruel avec la mort, un face-à-face qui ne laisse pas indemne pour peu qu'on ait un instinct de survie et le sens de la douleur.
Le réalisateur n'hésite pas à nous montrer dans les moindres détails les derniers instants de la vie d'un soldat sur le champ de bataille et tout est fait pour que le spectateur ressente un maximum sa souffrance, ses inquiétudes. Une bande son très précise, souvent augmentée par des effets de sourdine sur tous les éléments extérieurs, nous fera par exemple entendre le râle des poumons qui se remplissent de sang. Le réalisateur utilise également, pour une projection de soi plus efficace, beaucoup de gros plans, sur des visages qui souffrent, des lèvres qui tremblent, des impacts de balles dans la peau des soldats, des yeux apeurés... Pourtant un réalisme cinglant domine sans trop entacher la pudeur, les horreurs de la guerre se déroulent sous nos yeux sans pour autant tomber dans le gore, sans utilisation de litres et de litres de faux sang.
Ce film est un hommage à un groupe de marines tombés dans une embuscade (beaucoup de photos des soldats ayant effectué cette mission sont montrées au début du générique de fin) mais aussi un hommage à tous les marines de l'U.S Army... On y voit un entraînement très ardu, une dévotion pour leur patrie, du courage, de la camaraderie...
Un film d'Américains pour la gloire des Américains (donc le côté mytho) n'est pas en reste non plus. Mais reconnaissons leur cette qualité, un film de guerre très réaliste, réussi.
Des larmes et du sang est un film de guerre intense qui laisse un arrière-goût amer. En effet, le réalisme des combats a été poussé à son paroxysme, il en ressort donc une violence extrême et impitoyable. Violence physique mais aussi psychologique, on est projeté dans un face-à-face cruel avec la mort, un face-à-face qui ne laisse pas indemne pour peu qu'on ait un instinct de survie et le sens de la douleur.
Le réalisateur n'hésite pas à nous montrer dans les moindres détails les derniers instants de la vie d'un soldat sur le champ de bataille et tout est fait pour que le spectateur ressente un maximum sa souffrance, ses inquiétudes. Une bande son très précise, souvent augmentée par des effets de sourdine sur tous les éléments extérieurs, nous fera par exemple entendre le râle des poumons qui se remplissent de sang. Le réalisateur utilise également, pour une projection de soi plus efficace, beaucoup de gros plans, sur des visages qui souffrent, des lèvres qui tremblent, des impacts de balles dans la peau des soldats, des yeux apeurés... Pourtant un réalisme cinglant domine sans trop entacher la pudeur, les horreurs de la guerre se déroulent sous nos yeux sans pour autant tomber dans le gore, sans utilisation de litres et de litres de faux sang.
Ce film est un hommage à un groupe de marines tombés dans une embuscade (beaucoup de photos des soldats ayant effectué cette mission sont montrées au début du générique de fin) mais aussi un hommage à tous les marines de l'U.S Army... On y voit un entraînement très ardu, une dévotion pour leur patrie, du courage, de la camaraderie...
Un film d'Américains pour la gloire des Américains (donc le côté mytho) n'est pas en reste non plus. Mais reconnaissons leur cette qualité, un film de guerre très réaliste, réussi.