En quoi les analyses de "L'écran" sont-elles différentes ?
Tout d’abord, et de manière générale, il ne s’agit pas de donner un avis subjectif et moraliste sur les différentes œuvres. L’association ne se porte pas comme caution morale ou comme témoin artistique et fait appel au sens critique des lecteurs pour qu’ils se fassent une opinion. Les analyses de notre équipe ne ferment pas le débat mais au contraire ouvre la possibilité d’une réflexion esthétique et humaine sur le cinéma.
Plus particulièrement, l'approche artistique de nos analyses résulte d’une approche objective qui montre le contenu du film, au travers d’éléments objectifs (notes de productions, citations de personnalités ou de film, moyens financiers…) l’adéquation entre ce que les cinéastes ont voulu faire et ce qu’ils ont finalement réalisé. Ainsi entendue, l’objectivité permet l'appréciation d’une œuvre au delà des goûts et des sentiments trop variés des spectateurs. Notons que c’est bien la méthode qui est objective, et que sa conclusion analytique n'exclue pas la discussion (en effet, des éléments nouveaux peuvent venir éclairer un point en particulier). Comme toute méthode objective, elle est limitée par son objet et ses outils.
Enfin, l'approche éthique procède d’une même philosophie. Par conséquent, il ne s’agit pas de condamner des personnes mais de souligner et d'étudier d’une part les différentes idéologies à l'oeuvre, et d’autre part la nature de certaines images (érotisme, pornographie, violence…).
Relevant une intention (collective pour les blockbusters, plus ou moins individuelle pour les films indépendants), un état d’esprit et l’impact des images elles-mêmes, les auteurs de L'écran analysent, à l’aide d’une philosophie réaliste, la nuisance ou l’apport positif des œuvres regardées.
Par exemple, il faut pouvoir déceler dans un film les influences philosophiques et religieuses (Cf. l’article sur Locatairesde Kim Ki-Duk) et en montrer le danger ou la vertu. Là encore, nous laissons à la discrétion de chacun l’appréciation de ce qu’il estime pouvoir regarder ou non.
Ainsi, nos analyses ne sont ni des critiques personnelles livrées aux sentiments de l’auteur, ni des comptes rendus se bornant à lister les particularités techniques et économiques d’un film, ni même encore des livres de recettes morales.
Toute l’équipe de L'écran espère répondre aux mieux à vos attentes et nous nous engageons à tenir compte de vos éventuelles remarques.
Tout d’abord, et de manière générale, il ne s’agit pas de donner un avis subjectif et moraliste sur les différentes œuvres. L’association ne se porte pas comme caution morale ou comme témoin artistique et fait appel au sens critique des lecteurs pour qu’ils se fassent une opinion. Les analyses de notre équipe ne ferment pas le débat mais au contraire ouvre la possibilité d’une réflexion esthétique et humaine sur le cinéma.
Plus particulièrement, l'approche artistique de nos analyses résulte d’une approche objective qui montre le contenu du film, au travers d’éléments objectifs (notes de productions, citations de personnalités ou de film, moyens financiers…) l’adéquation entre ce que les cinéastes ont voulu faire et ce qu’ils ont finalement réalisé. Ainsi entendue, l’objectivité permet l'appréciation d’une œuvre au delà des goûts et des sentiments trop variés des spectateurs. Notons que c’est bien la méthode qui est objective, et que sa conclusion analytique n'exclue pas la discussion (en effet, des éléments nouveaux peuvent venir éclairer un point en particulier). Comme toute méthode objective, elle est limitée par son objet et ses outils.
Enfin, l'approche éthique procède d’une même philosophie. Par conséquent, il ne s’agit pas de condamner des personnes mais de souligner et d'étudier d’une part les différentes idéologies à l'oeuvre, et d’autre part la nature de certaines images (érotisme, pornographie, violence…).
Relevant une intention (collective pour les blockbusters, plus ou moins individuelle pour les films indépendants), un état d’esprit et l’impact des images elles-mêmes, les auteurs de L'écran analysent, à l’aide d’une philosophie réaliste, la nuisance ou l’apport positif des œuvres regardées.
Par exemple, il faut pouvoir déceler dans un film les influences philosophiques et religieuses (Cf. l’article sur Locataires de Kim Ki-Duk) et en montrer le danger ou la vertu. Là encore, nous laissons à la discrétion de chacun l’appréciation de ce qu’il estime pouvoir regarder ou non.
Ainsi, nos analyses ne sont ni des critiques personnelles livrées aux sentiments de l’auteur, ni des comptes rendus se bornant à lister les particularités techniques et économiques d’un film, ni même encore des livres de recettes morales.
Toute l’équipe de L'écran espère répondre aux mieux à vos attentes et nous nous engageons à tenir compte de vos éventuelles remarques.