L’hôpital, l’antichambre de la mort pour beaucoup, un enfer pour d’autres… Et ces « autres », ce qui est assez rare au cinoche, ce sont les médecins, dans Hippocrate.
Le film dresse un bilan dramatique des conditions de travail du personnel soignant. Loin de leur serment, les médecins peuvent rapidement dire adieu à toute déontologie, car la rentabilité passe avant tout. Eux et leurs patients sont les premières victimes du fonctionnement dénoncé.
On en riait dans un célèbre sketch des Inconnus, on en rit plus ou moins dans Hippocrate, mais on s’en inquiète surtout. Comment faire confiance à ces professionnels de la santé, sous pression, exténués, obligés de modifier les traitements en fonction de l’argent qui tombe dans les caisses ?
Les galères de l’hôpital sont décrites d’une façon fort réaliste, où l’on voit que le jugement, si essentiel à l’heure des décisions d’urgence, est parfois affecté chez le médecin par le cynisme… Le cynisme ? Un peu oui, vis-à-vis du patient, pour ne pas devenir fou, à pleurer sur tous ces morts qui s’enchaînent… Comme quoi, vous voyez, on ne rit pas tant que ça.
Hippocrate prend clairement le parti des infirmiers, aides-soignants, médecins et Cie, en oubliant hypocritement cette fois (pardon pour ce jeu de mots à deux sous) que ceux-ci ne sont pas toujours des anges bienveillants. Au pire, dans le film, ils prennent des airs indifférents. Ou alors c’est vraiment un hosto sympa…
Les bonnes petites nones qui s’occupaient maternellement de nos malades finissent vraiment par manquer !
L’hôpital, l’antichambre de la mort pour beaucoup, un enfer pour d’autres… Et ces « autres », ce qui est assez rare au cinoche, ce sont les médecins, dans Hippocrate.
Le film dresse un bilan dramatique des conditions de travail du personnel soignant. Loin de leur serment, les médecins peuvent rapidement dire adieu à toute déontologie, car la rentabilité passe avant tout. Eux et leurs patients sont les premières victimes du fonctionnement dénoncé.
On en riait dans un célèbre sketch des Inconnus, on en rit plus ou moins dans Hippocrate, mais on s’en inquiète surtout. Comment faire confiance à ces professionnels de la santé, sous pression, exténués, obligés de modifier les traitements en fonction de l’argent qui tombe dans les caisses ?
Les galères de l’hôpital sont décrites d’une façon fort réaliste, où l’on voit que le jugement, si essentiel à l’heure des décisions d’urgence, est parfois affecté chez le médecin par le cynisme… Le cynisme ? Un peu oui, vis-à-vis du patient, pour ne pas devenir fou, à pleurer sur tous ces morts qui s’enchaînent… Comme quoi, vous voyez, on ne rit pas tant que ça.
Hippocrate prend clairement le parti des infirmiers, aides-soignants, médecins et Cie, en oubliant hypocritement cette fois (pardon pour ce jeu de mots à deux sous) que ceux-ci ne sont pas toujours des anges bienveillants. Au pire, dans le film, ils prennent des airs indifférents. Ou alors c’est vraiment un hosto sympa…
Les bonnes petites nones qui s’occupaient maternellement de nos malades finissent vraiment par manquer !