Hunger Games - La révolte, Partie 2, Paragraphe 7, Alinéa 13, 4è ligne. On prend les mêmes, et on recommence. Mais cette fois, c'est bel et bien fini.
Heureusement, car le scénario peine à se réinventer.
On retrouve en effet toutes les briques des constructions précédentes : l'histoire d'amour impossible d'une jeune adulte perdue entre deux amoureux, un commando engagé dans une arène bourrée de pièges, des politiques tous plus intrigants et corrompus les uns que les autres, des flèches qui font des explosions nucléaires, des médias manipulateurs, des décors post-apocalyptiques, une brave fille un peu neuneu mais tellement choute…
Sur ces thèmes, donc, les précédentes critiques de la saga font déjà la mise au point.
Quoi de neuf dans ce nouvel opus ?
On découvre que des gentils sont méchants, et que les méchants sont très méchants. Pas grand-chose de plus.
Reste à répondre à une question : pourquoi ces soldats, défenseurs de la liberté, essaient de se faire éclater en permanence ? Parce que, quoiqu'on dise, cette façon de vouloir se faire tuer par leurs coéquipiers dès qu’ils se font attraper par l'ennemi pouvait être émouvante au début (dans le genre : l'ennemi est tellement cruel que nous préférons être capturés morts), mais à force, voilà qui confine au masochisme. Ajoutons à cela la notion de sacrifice et la trame de fond de la saga, qui est quand même de survivre le plus longtemps possible, et on en ressort un rapport très curieux à la mort. Incarner la résistance signifie aimer la vie, et la recette globale des films manque cruellement d'équilibre (un peu trop de poivre, je dirais...) !
Malgré tout ce qui précède, on peut se laisser porter par la pellicule et profiter d'un divertissement musclé sans trop de regrets. Le résultat est efficace et devrait séduire les amateurs du genre.
Hunger Games - La révolte, Partie 2, Paragraphe 7, Alinéa 13, 4è ligne. On prend les mêmes, et on recommence. Mais cette fois, c'est bel et bien fini.
Heureusement, car le scénario peine à se réinventer.
On retrouve en effet toutes les briques des constructions précédentes : l'histoire d'amour impossible d'une jeune adulte perdue entre deux amoureux, un commando engagé dans une arène bourrée de pièges, des politiques tous plus intrigants et corrompus les uns que les autres, des flèches qui font des explosions nucléaires, des médias manipulateurs, des décors post-apocalyptiques, une brave fille un peu neuneu mais tellement choute…
Sur ces thèmes, donc, les précédentes critiques de la saga font déjà la mise au point.
Quoi de neuf dans ce nouvel opus ?
On découvre que des gentils sont méchants, et que les méchants sont très méchants. Pas grand-chose de plus.
Reste à répondre à une question : pourquoi ces soldats, défenseurs de la liberté, essaient de se faire éclater en permanence ? Parce que, quoiqu'on dise, cette façon de vouloir se faire tuer par leurs coéquipiers dès qu’ils se font attraper par l'ennemi pouvait être émouvante au début (dans le genre : l'ennemi est tellement cruel que nous préférons être capturés morts), mais à force, voilà qui confine au masochisme. Ajoutons à cela la notion de sacrifice et la trame de fond de la saga, qui est quand même de survivre le plus longtemps possible, et on en ressort un rapport très curieux à la mort. Incarner la résistance signifie aimer la vie, et la recette globale des films manque cruellement d'équilibre (un peu trop de poivre, je dirais...) !
Malgré tout ce qui précède, on peut se laisser porter par la pellicule et profiter d'un divertissement musclé sans trop de regrets. Le résultat est efficace et devrait séduire les amateurs du genre.