Rien de bien nouveau sous le soleil qu’éblouit l’intelligence de Stark. Après avoir bâclé la suite de l’intéressant Iron Man, avec le deuxième opus, Marvel Studios renoue avec ce qui avait plu chez ce personnage : son esprit d’adaptation. Si notre génie impressionne avec ses bricolages, on ne retrouve tout de même pas, malheureusement, la virtuosité qui lui avait fait concevoir cette fameuse armure dans la première aventure.
Du divertissement pop-corn en veux-tu en voilà ? Peut-être ne se souviendra-t-on plus que de cela plus tard. Pourtant, contrairement à Transformers ou Avengers, Iron Man, troisième du nom, réfléchit un peu. Tony Stark est-il un héros, ou est-ce son arme le héros ? A-t-il une quelconque vertu héroïque avec un joujou pareil ? L’histoire ne vous fera pas de mystère quant à la réponse. C’est un Stark plus humain, plus dévoué à de nobles causes qui s’attaque à des méchants dont le pouvoir, intellectuellement intéressant, demeure un poil grotesque à l’écran (en plus de sentir le petit plagiat sur Terminator 2). Le gentil commence à montrer de vraies vertus. Si cela lui donne une allure plus noble, on regrette un peu toutefois l’orgueil cinglant et démesuré plus démonstratif des précédents épisodes.
La nouveauté est donc assez maigre. Cependant, la recette est gagnante : le retour aux sources du premier, allié à un approfondissement du héros, donne un peu de jugeote à des histoires qui se répètent nécessairement (gentil versus méchants, vous connaissez ?), malgré l'effort pour éviter d'être trop basique (des complots que doit déjouer Iron Man plutôt bien pensés). Du grand spectacle (attention : 3D inutile) plus inspiré, et plus futé qu'avant!
Rien de bien nouveau sous le soleil qu’éblouit l’intelligence de Stark. Après avoir bâclé la suite de l’intéressant Iron Man, avec le deuxième opus, Marvel Studios renoue avec ce qui avait plu chez ce personnage : son esprit d’adaptation. Si notre génie impressionne avec ses bricolages, on ne retrouve tout de même pas, malheureusement, la virtuosité qui lui avait fait concevoir cette fameuse armure dans la première aventure.
Du divertissement pop-corn en veux-tu en voilà ? Peut-être ne se souviendra-t-on plus que de cela plus tard. Pourtant, contrairement à Transformers ou Avengers, Iron Man, troisième du nom, réfléchit un peu. Tony Stark est-il un héros, ou est-ce son arme le héros ? A-t-il une quelconque vertu héroïque avec un joujou pareil ? L’histoire ne vous fera pas de mystère quant à la réponse. C’est un Stark plus humain, plus dévoué à de nobles causes qui s’attaque à des méchants dont le pouvoir, intellectuellement intéressant, demeure un poil grotesque à l’écran (en plus de sentir le petit plagiat sur Terminator 2). Le gentil commence à montrer de vraies vertus. Si cela lui donne une allure plus noble, on regrette un peu toutefois l’orgueil cinglant et démesuré plus démonstratif des précédents épisodes.
La nouveauté est donc assez maigre. Cependant, la recette est gagnante : le retour aux sources du premier, allié à un approfondissement du héros, donne un peu de jugeote à des histoires qui se répètent nécessairement (gentil versus méchants, vous connaissez ?), malgré l'effort pour éviter d'être trop basique (des complots que doit déjouer Iron Man plutôt bien pensés). Du grand spectacle (attention : 3D inutile) plus inspiré, et plus futé qu'avant!