Point de vue d'une femme sur les femmes et pour les femmes, Joséphine est l'histoire assez amusante d'une jeune trentenaire très parisienne (le chat d'appartement, les copines superficielles, le copain homo, etc.) qui va devoir se dépêtrer de ses mensonges. Par jalousie ou par bêtise, elle va s'enfoncer progressivement dans un marasme dont elle ne pourra sortir qu'en changeant de pays, ou en disant la vérité (on vous laisse découvrir).
Agnès Obadia joue sur toutes les cordes sensibles de ces dames : le complexe des fesses un peu trop ceci, de la copine un peu trop cela, des hommes beaucoup trop tout ça et de mademoiselle un peu trop seule.
On retrouve donc le thème central de la jeune fille qui ne parvient pas à trouver l'homme de sa vie au milieu d'une ville qui regorge de petits poissons et, surtout, à côté d'un homme très chouette qui ne rêve que d'elle.
Les critères qu'elle a définis pour son homme sont aussi superficiels que son mensonge mais, cette fois, ce n'est pas dénoncé par le film. Il faut donc qu'il aime les enfants et qu'il veuille en avoir beaucoup, qu'il fasse bien la cuisine, qu'il soit beau, gentil etc. Cette petite comédie laisse donc imaginer que l'amour se borne au choix d'un homme trié sur critères dans les rayons du supermarché de la vie. Aucune exigence quant à la façon d'éduquer les enfants, de mener sa vie, et toutes ces choses qui sont le ciment d'un couple.
Même si le tout est assez rafraîchissant, on peut dès lors regretter que cette vision du couple ne décolle pas de la simple communauté d'intérêts...
Point de vue d'une femme sur les femmes et pour les femmes, Joséphine est l'histoire assez amusante d'une jeune trentenaire très parisienne (le chat d'appartement, les copines superficielles, le copain homo, etc.) qui va devoir se dépêtrer de ses mensonges. Par jalousie ou par bêtise, elle va s'enfoncer progressivement dans un marasme dont elle ne pourra sortir qu'en changeant de pays, ou en disant la vérité (on vous laisse découvrir).
Agnès Obadia joue sur toutes les cordes sensibles de ces dames : le complexe des fesses un peu trop ceci, de la copine un peu trop cela, des hommes beaucoup trop tout ça et de mademoiselle un peu trop seule.
On retrouve donc le thème central de la jeune fille qui ne parvient pas à trouver l'homme de sa vie au milieu d'une ville qui regorge de petits poissons et, surtout, à côté d'un homme très chouette qui ne rêve que d'elle.
Les critères qu'elle a définis pour son homme sont aussi superficiels que son mensonge mais, cette fois, ce n'est pas dénoncé par le film. Il faut donc qu'il aime les enfants et qu'il veuille en avoir beaucoup, qu'il fasse bien la cuisine, qu'il soit beau, gentil etc. Cette petite comédie laisse donc imaginer que l'amour se borne au choix d'un homme trié sur critères dans les rayons du supermarché de la vie. Aucune exigence quant à la façon d'éduquer les enfants, de mener sa vie, et toutes ces choses qui sont le ciment d'un couple.
Même si le tout est assez rafraîchissant, on peut dès lors regretter que cette vision du couple ne décolle pas de la simple communauté d'intérêts...