Une aventure mettant en avant le courage, l’honneur, pour les petits, ça ne fait jamais de mal. Même si l’héroïne reprend les tendances féministes à deux sous des derniers dessins animés (la princesse qui réduit le rôle de mère de famille à la cuisine etc, vous connaissez la chanson), La Légende de Manolo a le mérite de donner de bons exemples : une famille unie, un soupirant valeureux, un ami fidèle … Mais aussi des mauvais, comme cette princesse justement, et le papa du héros qui se trompe sur la vocation du petit : encore des parents à côté de la plaque, c’est bien connu, les parents sont des abrutis, gentils, donc de gentils abrutis. Bon, ceci dit, ça arrive, et on a le droit d’en parler !
Pas de grossièretés, si ce n’est une ou deux blagues potaches : un bol d’air dans le cinéma pour enfants !
Les adolescents, et même les adultes, pourraient bien aimer aussi, pour le dynamisme dopé de la mise en scène, quelques gags réservés à un âge minimum (références à d’autres films, ou à des chansons anglo-saxonnes…) qui font toujours mouche, et surtout, une animation, dans les costumes, décors, figures etc, absolument fantastique, farfelue, originale, on ne tarit point d’adjectifs. Un travail technique et artistique phénoménal et sans pareil, on sent que l’imagination a débordé de tous les côtés.
L’histoire demeure plus simple, mais on ne va pas faire de l’Inception aux gamins, déjà que les grands mettent trois fois avant de tout comprendre de ce dernier …
L’ambiance est Tim Burtonienne, si je puis dire, mais beaucoup moins glauque. Attention toutefois : les méchants font peur, et ont vraiment l’air méchant. Bon, perso, j’ai été traumatisé par l’incendie de la forêt de Bambi. Alors chacun ses fantômes de jeunesse.
Un dessin animé artistiquement virtuose, prônant de bonnes valeurs (mais, bémols relevés précédemment), assez déjanté, et plein de vie !
Une aventure mettant en avant le courage, l’honneur, pour les petits, ça ne fait jamais de mal. Même si l’héroïne reprend les tendances féministes à deux sous des derniers dessins animés (la princesse qui réduit le rôle de mère de famille à la cuisine etc, vous connaissez la chanson), La Légende de Manolo a le mérite de donner de bons exemples : une famille unie, un soupirant valeureux, un ami fidèle … Mais aussi des mauvais, comme cette princesse justement, et le papa du héros qui se trompe sur la vocation du petit : encore des parents à côté de la plaque, c’est bien connu, les parents sont des abrutis, gentils, donc de gentils abrutis. Bon, ceci dit, ça arrive, et on a le droit d’en parler !
Pas de grossièretés, si ce n’est une ou deux blagues potaches : un bol d’air dans le cinéma pour enfants !
Les adolescents, et même les adultes, pourraient bien aimer aussi, pour le dynamisme dopé de la mise en scène, quelques gags réservés à un âge minimum (références à d’autres films, ou à des chansons anglo-saxonnes…) qui font toujours mouche, et surtout, une animation, dans les costumes, décors, figures etc, absolument fantastique, farfelue, originale, on ne tarit point d’adjectifs. Un travail technique et artistique phénoménal et sans pareil, on sent que l’imagination a débordé de tous les côtés.
L’histoire demeure plus simple, mais on ne va pas faire de l’Inception aux gamins, déjà que les grands mettent trois fois avant de tout comprendre de ce dernier …
L’ambiance est Tim Burtonienne, si je puis dire, mais beaucoup moins glauque. Attention toutefois : les méchants font peur, et ont vraiment l’air méchant. Bon, perso, j’ai été traumatisé par l’incendie de la forêt de Bambi. Alors chacun ses fantômes de jeunesse.
Un dessin animé artistiquement virtuose, prônant de bonnes valeurs (mais, bémols relevés précédemment), assez déjanté, et plein de vie !