Loin d’être un film d’action mettant en scène de grands combats épiques, le film s’attache à suivre la vie quotidienne des combattants et des populations civiles afin de nous monter une fresque historique dé peignant de manière didactique pénuries, privations, morts, trahisons, peur, paysages dévastés, ruines, terres brulées …
Le spectateur suit ainsi les destinées de divers personnages du camp Anglo-portugais tels le lieutenant Pedro de Alencar grièvement blessé, le sergent Francisco-Javier, une jeune veuve, une anglaise dévergondée et incestueuse, un revendeur ambulant, un jeune enfant des rues ou encore une prostituée. Tous ont pour but d’atteindre les fameuses lignes du Maréchal Wellington au nord de Lisbonne où les troupes impériales seront définitivement repoussées.
Le réalisme escompté est fortement entaché par un effet loupe qui déforme les images du Général Wellington (John Malkovich), qu’on nous montre uniquement préoccupé par les tableaux des batailles qu’il commande au peintre Lévêque, et du Maréchal Masséna (Melvil Poupaud) réduit à un rustre.
Il est également regrettable que rien ne nous ait été épargné des mœurs dépravées des combattants qui, tels des animaux, succombent à leurs bas instincts : recours & nbsp;à des prostituées, viols (de cadavres notamment) … cela rend le film assez insupportable tant les moments « intimes » y tiennent une place centrale.
Les costumes et les décors splendides reconstituant l’époque, la magnifique musique et le casting prestigieux réunissant John Malkovich, Melvil Poupaud et Catherine Deneuve, n’ont pas suffi à retenir les spectateurs qui furent nombreux à sortir durant les quelques 2h30 du film.
Loin d’être un film d’action mettant en scène de grands combats épiques, le film s’attache à suivre la vie quotidienne des combattants et des populations civiles afin de nous monter une fresque historique dé peignant de manière didactique pénuries, privations, morts, trahisons, peur, paysages dévastés, ruines, terres brulées …
Le spectateur suit ainsi les destinées de divers personnages du camp Anglo-portugais tels le lieutenant Pedro de Alencar grièvement blessé, le sergent Francisco-Javier, une jeune veuve, une anglaise dévergondée et incestueuse, un revendeur ambulant, un jeune enfant des rues ou encore une prostituée. Tous ont pour but d’atteindre les fameuses lignes du Maréchal Wellington au nord de Lisbonne où les troupes impériales seront définitivement repoussées.
Le réalisme escompté est fortement entaché par un effet loupe qui déforme les images du Général Wellington (John Malkovich), qu’on nous montre uniquement préoccupé par les tableaux des batailles qu’il commande au peintre Lévêque, et du Maréchal Masséna (Melvil Poupaud) réduit à un rustre.
Il est également regrettable que rien ne nous ait été épargné des mœurs dépravées des combattants qui, tels des animaux, succombent à leurs bas instincts : recours & nbsp;à des prostituées, viols (de cadavres notamment) … cela rend le film assez insupportable tant les moments « intimes » y tiennent une place centrale.
Les costumes et les décors splendides reconstituant l’époque, la magnifique musique et le casting prestigieux réunissant John Malkovich, Melvil Poupaud et Catherine Deneuve, n’ont pas suffi à retenir les spectateurs qui furent nombreux à sortir durant les quelques 2h30 du film.