Un spectacle aux ressorts scénaristiques presque intéressants, bien que dépourvus de la moindre crédibilité (des écolos veulent anéantir les hommes pour sauver la planète... sur le fond, ça reste amusant...).
La surenchère permanente dans les rebondissements à gogo, la taille des monstres et des combats trouve clairement ses limites : au lieu d'être impressionné, on est souvent repoussé par la gueule de ces nouveaux démons, qui affrontent Godzilla, l'espèce de dinosaure à nageoires capable de projeter un faisceau lumineux bleu particulièrement puissant pour attaquer ses ennemis... On se demande d'ailleurs quel est l'intérêt de ces espèces de rayons, dont l'impact s'avère totalement dépendant de la volonté des scénaristes, alors que ces bestioles sont dotées de dentitions à rendre jaloux un dinosaure, aussi grand soit-il.
Loué pour ses effets spéciaux, le film montre pourtant un monstre-larve en début de spectacle aussi flou qu'un jeu vidéo du début des années 2000 (comprenez : une véritable tache sur l'écran). Sans compter l'impact absolument invisible des dégâts causés par les fameux rayons.
Un univers sans règles, qui essaie de faire monter la tension en faisant s'affronter des futurs produits dérivés de plus en plus gros, mais nous lâche dès l'instant qu'aucune règle logique ne semble en vigueur. Dès lors, n'importe quelle idée saugrenue venue dans la tête de l'auteur de cette drôle d'histoire peut venir tout chambouler - gratuitement et bourrinement, cela va sans dire.
Un spectacle aux ressorts scénaristiques presque intéressants, bien que dépourvus de la moindre crédibilité (des écolos veulent anéantir les hommes pour sauver la planète... sur le fond, ça reste amusant...).
La surenchère permanente dans les rebondissements à gogo, la taille des monstres et des combats trouve clairement ses limites : au lieu d'être impressionné, on est souvent repoussé par la gueule de ces nouveaux démons, qui affrontent Godzilla, l'espèce de dinosaure à nageoires capable de projeter un faisceau lumineux bleu particulièrement puissant pour attaquer ses ennemis... On se demande d'ailleurs quel est l'intérêt de ces espèces de rayons, dont l'impact s'avère totalement dépendant de la volonté des scénaristes, alors que ces bestioles sont dotées de dentitions à rendre jaloux un dinosaure, aussi grand soit-il.
Loué pour ses effets spéciaux, le film montre pourtant un monstre-larve en début de spectacle aussi flou qu'un jeu vidéo du début des années 2000 (comprenez : une véritable tache sur l'écran). Sans compter l'impact absolument invisible des dégâts causés par les fameux rayons.
Un univers sans règles, qui essaie de faire monter la tension en faisant s'affronter des futurs produits dérivés de plus en plus gros, mais nous lâche dès l'instant qu'aucune règle logique ne semble en vigueur. Dès lors, n'importe quelle idée saugrenue venue dans la tête de l'auteur de cette drôle d'histoire peut venir tout chambouler - gratuitement et bourrinement, cela va sans dire.