Le virevoltant Tom Cruise est de retour dans la saga Impossible, qui n’a visiblement pas fini de séduire les fans du genre « action-cocktail-gadgets » tant elle trouve de mobiles pour créer des poursuites aux quatre coins du monde (contrairement à un certain Mad Max : Fury Road…). Entouré d’excellents équipiers (Jeremy Renner, Alec Baldwin et Simon Pegg), Ethan Hunt (Tom Cruise) continue plus que jamais ses cascades aériennes pour prouver cette fois à son gouvernement que la Force Mission Impossible ne doit pas être dissoute. Il croise en chemin une intrigante et sensuelle jeune femme agent secret (Rebecca Ferguson), dont il ignore l’appartenance et qui a tout pour être son double. Cet effet miroir amuse, d’autant que pour une fois, Tom Cruise, self-made-man par excellence, n’a pas toujours le dernier mot !
En toile de fond, le film explore la relation étroite entre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Il puise son inspiration dans une pensée américaine toujours préoccupée par le complot venant de l’intérieur qui est, au fond, la menace la plus fascinante… quoique la plus exploitée. Le film est un plaidoyer pour l’action des services secrets, qui n’est pas toujours reconnue à sa juste valeur par les politiciens.
Cependant il ne cherche pas à s’étendre longuement sur les questions de sécurité internationales actuelles. Très vite le panache de l’action reprend ses droits, et la fascination du « scientologue » Tom Cruise pour les innovations technologiques devient très vite palpable.
On notera, entre autres, une très belle scène de poursuite en moto signée Christopher McQuarrie, le réalisateur, ainsi qu’une singulière intrigue ponctuée par la présence de plusieurs assassins dans un célèbre opéra, qui a sans doute été inspirée de deux autres scènes historiques similaires dans L’homme qui en savait trop (Alfred Hitchcock) et Le Parrain 3 (Francis F. Coppola). Les images sont vives et lissées, avec des couleurs attrayantes tirant vers le fluo.
Rogue Nation est bon film estival divertissant, malgré quelques pointes de violence pas rigoureusement nécessaires. « A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles », justifie le scénario. Jolie pirouette… commerciale !
Le virevoltant Tom Cruise est de retour dans la saga Impossible, qui n’a visiblement pas fini de séduire les fans du genre « action-cocktail-gadgets » tant elle trouve de mobiles pour créer des poursuites aux quatre coins du monde (contrairement à un certain Mad Max : Fury Road…). Entouré d’excellents équipiers (Jeremy Renner, Alec Baldwin et Simon Pegg), Ethan Hunt (Tom Cruise) continue plus que jamais ses cascades aériennes pour prouver cette fois à son gouvernement que la Force Mission Impossible ne doit pas être dissoute. Il croise en chemin une intrigante et sensuelle jeune femme agent secret (Rebecca Ferguson), dont il ignore l’appartenance et qui a tout pour être son double. Cet effet miroir amuse, d’autant que pour une fois, Tom Cruise, self-made-man par excellence, n’a pas toujours le dernier mot !
En toile de fond, le film explore la relation étroite entre les Etats-Unis et la Grande-Bretagne. Il puise son inspiration dans une pensée américaine toujours préoccupée par le complot venant de l’intérieur qui est, au fond, la menace la plus fascinante… quoique la plus exploitée. Le film est un plaidoyer pour l’action des services secrets, qui n’est pas toujours reconnue à sa juste valeur par les politiciens.
Cependant il ne cherche pas à s’étendre longuement sur les questions de sécurité internationales actuelles. Très vite le panache de l’action reprend ses droits, et la fascination du « scientologue » Tom Cruise pour les innovations technologiques devient très vite palpable.
On notera, entre autres, une très belle scène de poursuite en moto signée Christopher McQuarrie, le réalisateur, ainsi qu’une singulière intrigue ponctuée par la présence de plusieurs assassins dans un célèbre opéra, qui a sans doute été inspirée de deux autres scènes historiques similaires dans L’homme qui en savait trop (Alfred Hitchcock) et Le Parrain 3 (Francis F. Coppola). Les images sont vives et lissées, avec des couleurs attrayantes tirant vers le fluo.
Rogue Nation est bon film estival divertissant, malgré quelques pointes de violence pas rigoureusement nécessaires. « A situation exceptionnelle, mesures exceptionnelles », justifie le scénario. Jolie pirouette… commerciale !