Encore une saga fantastique inspirée d’un roman à succès ! Il s’agit de la série des The mortal instruments de Cassandra Clare (qui a d’ailleurs participé au film), forte de six tomes dont cinq publiés.
Le contexte de la saga rappelle fortement Twilight, d’ailleurs, on y retrouve également des vampires et des loups-garous, ainsi que l’un des acteurs Jamie Campbell Bower qui interprète ici le personnage masculin principal. Le réalisateur Harald Zwart est un habitué des divertissements pour ados (Agent Cody Banks, Karate Kid). Le casting se compose essentiellement de jeunes acteurs en début de carrière et qui sont plutôt bons (excepté Jamie Campbell Bower, vraiment très mauvais).
Comme toute grosse machine hollywoodienne qui se respecte, le film comporte tous les ingrédients obligés du genre : magie, créatures fantastiques amicales ou féroces, effets spéciaux, action, romance, un peu de suspens et d’humour. Le tout fonctionne assez efficacement et le sens du rythme fait qu’on ne s’ennuie pas malgré la profusion de clichés et de grosses invraisemblances et ellipses.
Cependant, le film est amené à aborder des sujets passablement dangereux comme la magie noire, la sorcellerie ou les démons, des sujets qu’il traite de manière certes artificielle, mais qui n’en heurteront pas moins la sensibilité du jeune public et la sensibilité de nombreux spectateurs, d’autant plus que le ton du film est éminemment sérieux et ne prend aucune distance avec son sujet. De plus, les relations sentimentales entre les deux personnages principaux virent au malsain suite à une révélation sur les origines de l’héroïne. Enfin, signe des temps, il y a également des allusions directes à l’homosexualité de certains personnages.
Encore une saga fantastique inspirée d’un roman à succès ! Il s’agit de la série des The mortal instruments de Cassandra Clare (qui a d’ailleurs participé au film), forte de six tomes dont cinq publiés.
Le contexte de la saga rappelle fortement Twilight, d’ailleurs, on y retrouve également des vampires et des loups-garous, ainsi que l’un des acteurs Jamie Campbell Bower qui interprète ici le personnage masculin principal. Le réalisateur Harald Zwart est un habitué des divertissements pour ados (Agent Cody Banks, Karate Kid). Le casting se compose essentiellement de jeunes acteurs en début de carrière et qui sont plutôt bons (excepté Jamie Campbell Bower, vraiment très mauvais).
Comme toute grosse machine hollywoodienne qui se respecte, le film comporte tous les ingrédients obligés du genre : magie, créatures fantastiques amicales ou féroces, effets spéciaux, action, romance, un peu de suspens et d’humour. Le tout fonctionne assez efficacement et le sens du rythme fait qu’on ne s’ennuie pas malgré la profusion de clichés et de grosses invraisemblances et ellipses.
Cependant, le film est amené à aborder des sujets passablement dangereux comme la magie noire, la sorcellerie ou les démons, des sujets qu’il traite de manière certes artificielle, mais qui n’en heurteront pas moins la sensibilité du jeune public et la sensibilité de nombreux spectateurs, d’autant plus que le ton du film est éminemment sérieux et ne prend aucune distance avec son sujet. De plus, les relations sentimentales entre les deux personnages principaux virent au malsain suite à une révélation sur les origines de l’héroïne. Enfin, signe des temps, il y a également des allusions directes à l’homosexualité de certains personnages.