Sans issue est un film correct, qui ne casse pas trois pattes à un nanar. Sa facture renvoie à la plupart des films d'action récents (avec un chouilla moins d'invraisemblances), à commencer par tous les films dans lesquels un agent secret cache sa profession à sa charmante famille, comme le très fraîchement sorti
Identité secrète, de John Singleton en 2011, ou même Kiss and kill, de Robert Luketic en 2010. Le rythme renvoie quant à lui à la désormais très classique trilogie de La mémoire dans la peau, de Doug Liman en 2002. Ça se court après comme des petits chiots dans une cagette, même si ça se finit par des combats de rottweilers contrariés.
Pourtant le film présente une certaine originalité : les dézingués ne reviennent pas d'entre les morts, et là, voyez-vous, ça fait du bien par où ça tourne ! Non mais franchement ! Avouez que les résurrections de dernière minute, c'est mignon mais c'est tout !
De plus, le héros n'a pas de mignonne choupinette à câliner, fait suffisamment rare pour être souligné.
Sur le fond il s'agit donc d'une famille qui va &
ecirc;tre un peu secouée par quelques agents du MOSSAD, de mauvaise humeur depuis que quelqu'un (non non ! je ne vous dirai pas qui !) leur a volé une mallette qui contenait des choses-qui-méritent-qu'on-se-troue-les-uns-les-autres.
La relation compliquée qu'entretiennent les fils avec leur père se déploie en toile de fond, assez classique il faut le reconnaître.
Le reste est aussi du déjà vu. Sigourney Weaver incarne une femme aussi sympa qu'une mygale, et aussi mystérieuse qu'un agent double. Mais l'est-elle vraiment ? Oulala suspens !
Un bon petit film qui vide la tête sans la remplir vraiment, mais qui mérite le prix d'un billet pour ceux qui sortent énervés des partiels...
Sans issue est un film correct, qui ne casse pas trois pattes à un nanar. Sa facture renvoie à la plupart des films d'action récents (avec un chouilla moins d'invraisemblances), à commencer par tous les films dans lesquels un agent secret cache sa profession à sa charmante famille, comme le très fraîchement sorti Identité secrète, de John Singleton en 2011, ou même Kiss and kill, de Robert Luketic en 2010. Le rythme renvoie quant à lui à la désormais très classique trilogie de La mémoire dans la peau, de Doug Liman en 2002. Ça se court après comme des petits chiots dans une cagette, même si ça se finit par des combats de rottweilers contrariés.
Pourtant le film présente une certaine originalité : les dézingués ne reviennent pas d'entre les morts, et là, voyez-vous, ça fait du bien par où ça tourne ! Non mais franchement ! Avouez que les résurrections de dernière minute, c'est mignon mais c'est tout !
De plus, le héros n'a pas de mignonne choupinette à câliner, fait suffisamment rare pour être souligné.
Sur le fond il s'agit donc d'une famille qui va & ecirc;tre un peu secouée par quelques agents du MOSSAD, de mauvaise humeur depuis que quelqu'un (non non ! je ne vous dirai pas qui !) leur a volé une mallette qui contenait des choses-qui-méritent-qu'on-se-troue-les-uns-les-autres.
La relation compliquée qu'entretiennent les fils avec leur père se déploie en toile de fond, assez classique il faut le reconnaître.
Le reste est aussi du déjà vu. Sigourney Weaver incarne une femme aussi sympa qu'une mygale, et aussi mystérieuse qu'un agent double. Mais l'est-elle vraiment ? Oulala suspens !
Un bon petit film qui vide la tête sans la remplir vraiment, mais qui mérite le prix d'un billet pour ceux qui sortent énervés des partiels...