Garbiel Julien-Laferriere, après Neuilly sa mère !, signe sa deuxième comédie, SMS, tirée du roman éponyme de Laurent Bénégui.
Le scénario est construit entre le suspense hitchcockien et la comédie catastrophe, ce que le réalisateur appelle une comédie d’action. Le rythme est donc soutenu, les répliques fusent pour faire mouche à chaque fois et le personnage principal est pris dans un tourbillon. Guillaume de Tonquédec incarne un excellent monsieur tout-le-monde attachant et drôle, qui est poussé à s’interroger sur sa vie, son mariage, sa paternité et son passé. Le réalisateur en profite aussi pour soulever la polémique des ondes électriques de la téléphonie mobile mais sans particulièrement se prononcer. Malheureusement le fond du film est en réalité une toile de fond anarchique qui pose des questions, banalise des situations de crise (adultère, paternité non biologique, divorce…) mais n’apportera rien d’autre au spectateur qu’un divertissement bien monté.
Garbiel Julien-Laferriere, après Neuilly sa mère !, signe sa deuxième comédie, SMS, tirée du roman éponyme de Laurent Bénégui.
Le scénario est construit entre le suspense hitchcockien et la comédie catastrophe, ce que le réalisateur appelle une comédie d’action. Le rythme est donc soutenu, les répliques fusent pour faire mouche à chaque fois et le personnage principal est pris dans un tourbillon. Guillaume de Tonquédec incarne un excellent monsieur tout-le-monde attachant et drôle, qui est poussé à s’interroger sur sa vie, son mariage, sa paternité et son passé. Le réalisateur en profite aussi pour soulever la polémique des ondes électriques de la téléphonie mobile mais sans particulièrement se prononcer. Malheureusement le fond du film est en réalité une toile de fond anarchique qui pose des questions, banalise des situations de crise (adultère, paternité non biologique, divorce…) mais n’apportera rien d’autre au spectateur qu’un divertissement bien monté.