Pétillant de couleurs vives et de lumières dorées, Wonder Wheel est le dernier petit cadeau de Woody Allen aux amoureux de la comédie romantique. Dans la droite lignée de Café Society (2016), cette nouvelle aventure légère encore rythmée par des morceaux de jazz, s'ajoute au chapelet d'histoires inachevées que le cinéaste n'a cessé de commencer à vous raconter depuis plusieurs décennies. Il plante cette fois son décor à Coney Island Beach, plage new-yorkaise, dans les années 1950, et met en scène un triangle amoureux déséquilibré par l'âge, avec au centre un Justin Timberlake en beau gosse flambeur maître nageur-sauveteur plus fanfaronnant que jamais, et à ses côtés une Kate Winslet déjà mariée challengée par une très jeune blonde tonique, voire 'atomic', de passage (Juno Temple).
L'histoire se déroule dans le milieu forain en bord de mer, et se cristallise sur l'appartement bouillant de Ginny (Kate Winslet) dont le mariage explose littéralement sans que son mari (Humpty) un peu fort sur la bouteille ne s'en rende compte le moins du monde. Rempilant dans un rôle d'épouse/partenaire frustrée, Kate Winslet (Titanic, Les Noces Rebelles) excelle dans une jalousie qui la rend hors d'elle-même pendant toute la durée du film. Histérique, colérique et possessive, elle n'a évidemment pas les moyens d'empêcher Mickey (Justin Timberlake) de tomber dans les filets de la belle Carolina. Le fond de l'intrigue, comme d'habitude chez Woody Allen, n' a pas de réelle importance. L'essentiel pour lui est de traduire à l'écran les joyeux dandynements de la vie qui vous font parfois oublier que vous êtes mariés, que vous ne pouvez pas aimer deux femmes en même temps, ou encore que la jeunesse de l'amour ne peut pas s'affranchir des limites de la vie.
Pétillant de couleurs vives et de lumières dorées, Wonder Wheel est le dernier petit cadeau de Woody Allen aux amoureux de la comédie romantique. Dans la droite lignée de Café Society (2016), cette nouvelle aventure légère encore rythmée par des morceaux de jazz, s'ajoute au chapelet d'histoires inachevées que le cinéaste n'a cessé de commencer à vous raconter depuis plusieurs décennies. Il plante cette fois son décor à Coney Island Beach, plage new-yorkaise, dans les années 1950, et met en scène un triangle amoureux déséquilibré par l'âge, avec au centre un Justin Timberlake en beau gosse flambeur maître nageur-sauveteur plus fanfaronnant que jamais, et à ses côtés une Kate Winslet déjà mariée challengée par une très jeune blonde tonique, voire 'atomic', de passage (Juno Temple).
L'histoire se déroule dans le milieu forain en bord de mer, et se cristallise sur l'appartement bouillant de Ginny (Kate Winslet) dont le mariage explose littéralement sans que son mari (Humpty) un peu fort sur la bouteille ne s'en rende compte le moins du monde. Rempilant dans un rôle d'épouse/partenaire frustrée, Kate Winslet (Titanic, Les Noces Rebelles) excelle dans une jalousie qui la rend hors d'elle-même pendant toute la durée du film. Histérique, colérique et possessive, elle n'a évidemment pas les moyens d'empêcher Mickey (Justin Timberlake) de tomber dans les filets de la belle Carolina. Le fond de l'intrigue, comme d'habitude chez Woody Allen, n' a pas de réelle importance. L'essentiel pour lui est de traduire à l'écran les joyeux dandynements de la vie qui vous font parfois oublier que vous êtes mariés, que vous ne pouvez pas aimer deux femmes en même temps, ou encore que la jeunesse de l'amour ne peut pas s'affranchir des limites de la vie.