Les auteurs du film le présentent comme une « comédie d'action » dans le dossier de presse... Mais ne vous attendez pas à un genre de Die Hard dans un lycée, on est plutôt au niveau du film pour ado qui ne vole vraiment pas haut, sombrant dans le grotesque du non-humour lycéen...
21 Jump Street est à l'origine une série télé des années 80 qui a donné à Johnny Depp son premier « grand » rôle. Naturellement, après d'autres séries à succès des années 80 comme L'Agence tout risque (1983-1987, série de Franck Lupo) par exemple, c'est au tour de Jump Street d'être reprise avec un paquet d'argent potentiel en vue. Cependant, le manque d'inspiration mène à des blagues
parfois drôles mais souvent bien lourdes, qui plombent même les scènes d'action faiblardes décrétées « à mourir de rire » par George Aguilar, le coordinateur des cascades...
Nous n'avons pas le même humour.
Le film joue également sur l'inversion des rôles : le « cassos » du lycée devient « hyper cool » et inversement, du fait notamment des changements des codes. Autant dire que c'est déjà vu et attendu, mais cela peut faire apparaître quelques sourires.
Le spectateur risque de banaliser le fait que des policiers servent de l'alcool à des mineurs. Rappelons-le : c'est paaaaaaaas bien !
L'un des personnages principaux
confond même carrément sa mission et sa vraie vie (confusion totalement assumée et revendiquée par l'équipe du film), ce qui va l'amener à se jouer d'une lycéenne qui finit par lui dire... merci !
On remarquera un caméo (apparition courte et souvent non-parlante d'un personnage connu ou en lien avec le film) intéressant que les « sérievores » des années 80 apprécieront tout particulièrement, mais que tous reconnaîtront.
Les auteurs du film le présentent comme une « comédie d'action » dans le dossier de presse... Mais ne vous attendez pas à un genre de Die Hard dans un lycée, on est plutôt au niveau du film pour ado qui ne vole vraiment pas haut, sombrant dans le grotesque du non-humour lycéen...
21 Jump Street est à l'origine une série télé des années 80 qui a donné à Johnny Depp son premier « grand » rôle. Naturellement, après d'autres séries à succès des années 80 comme L'Agence tout risque (1983-1987, série de Franck Lupo) par exemple, c'est au tour de Jump Street d'être reprise avec un paquet d'argent potentiel en vue. Cependant, le manque d'inspiration mène à des blagues parfois drôles mais souvent bien lourdes, qui plombent même les scènes d'action faiblardes décrétées « à mourir de rire » par George Aguilar, le coordinateur des cascades...
Nous n'avons pas le même humour.
Le film joue également sur l'inversion des rôles : le « cassos » du lycée devient « hyper cool » et inversement, du fait notamment des changements des codes. Autant dire que c'est déjà vu et attendu, mais cela peut faire apparaître quelques sourires.
Le spectateur risque de banaliser le fait que des policiers servent de l'alcool à des mineurs. Rappelons-le : c'est paaaaaaaas bien !
L'un des personnages principaux confond même carrément sa mission et sa vraie vie (confusion totalement assumée et revendiquée par l'équipe du film), ce qui va l'amener à se jouer d'une lycéenne qui finit par lui dire... merci !
On remarquera un caméo (apparition courte et souvent non-parlante d'un personnage connu ou en lien avec le film) intéressant que les « sérievores » des années 80 apprécieront tout particulièrement, mais que tous reconnaîtront.