A Hollywood, saga à succès signifie extension de licence afin de produire des sous. The Amazing Spider-Man devait donc être une suite de la saga à succès de Sam Raimi. Cependant, un différent entre le réalisateur et le détenteur des droits a abouti à un changement de candidat, et donc à un reboot.
Cependant, si le réalisateur change, Spider-Man reste à peu de choses près le même : mêmes motivations de faire plaisir à une jolie fille ainsi que de sauver les innocents d'un grand méchant schizophrène (qui à l'origine n'est pas si méchant, bien entendu). On notera également la même rengaine sur la responsabilité à la fois du jeune homme et du super héros, identique à ce que l'on trouvait dans l'original, mais ce genre de leçon de morale ne fait pas de mal.
Globalement, les images sont très belles, les zooms sont efficaces, quelques séquences en caméra subjective font également leur effet, notamment en 3D. L'abus de fréquences basses pour bien montrer au spectateur étourdi que ce qui se passe est important peut cependant s'avérer lourd.
Le film est facilement appréciable et relativement bien réalisé (malgré les approximations habituelles lors des combats, ou encore l'erreur que l'on retrouve dans beaucoup de films concernant le sang qui reste rouge, alors qu'en réalité, il brunit...). Cependant, la dernière phrase semble clairement évoquer la dernière promesse faite à un mort comme une promesse en l'air, et cela n'est pas respectable. Au moins aurait-on pu dire qu'il s'agissait d'une promesse intenable.
Bien entendu, comme dans tout Marvel, l'on voit apparaître Stan Lee, leur créateur... un petit indice : on le voit seul au premier plan, dans un combat contre le lézard.
A Hollywood, saga à succès signifie extension de licence afin de produire des sous. The Amazing Spider-Man devait donc être une suite de la saga à succès de Sam Raimi. Cependant, un différent entre le réalisateur et le détenteur des droits a abouti à un changement de candidat, et donc à un reboot.
Cependant, si le réalisateur change, Spider-Man reste à peu de choses près le même : mêmes motivations de faire plaisir à une jolie fille ainsi que de sauver les innocents d'un grand méchant schizophrène (qui à l'origine n'est pas si méchant, bien entendu). On notera également la même rengaine sur la responsabilité à la fois du jeune homme et du super héros, identique à ce que l'on trouvait dans l'original, mais ce genre de leçon de morale ne fait pas de mal.
Globalement, les images sont très belles, les zooms sont efficaces, quelques séquences en caméra subjective font également leur effet, notamment en 3D. L'abus de fréquences basses pour bien montrer au spectateur étourdi que ce qui se passe est important peut cependant s'avérer lourd.
Le film est facilement appréciable et relativement bien réalisé (malgré les approximations habituelles lors des combats, ou encore l'erreur que l'on retrouve dans beaucoup de films concernant le sang qui reste rouge, alors qu'en réalité, il brunit...). Cependant, la dernière phrase semble clairement évoquer la dernière promesse faite à un mort comme une promesse en l'air, et cela n'est pas respectable. Au moins aurait-on pu dire qu'il s'agissait d'une promesse intenable.
Bien entendu, comme dans tout Marvel, l'on voit apparaître Stan Lee, leur créateur... un petit indice : on le voit seul au premier plan, dans un combat contre le lézard.