Vous connaissez l'histoire de Paf l'araignée ? Ce sont quatre films, sur une araignée, qui ont rapporté quelques milliards de dollars au box-office, et paf ! Rev'là un film avec l'araignée !
Comme disait Coluche, tant que je gagne, je joue.
Les effets spéciaux sont aussi réussis que le scénario est original. C'est dire comme les effets spéciaux sont excellents ! Parce que côté scénario, même le bouche-à-bouche des deux amoureux ne le réanime pas : un gros monstre méchant parce que mal aimé, un Spiderman qui n'a pas perdu la forme, la jolie blondinette qui se pose des problèmes existentiels inexistants, une population ingrate et versatile à l'égard de notre héros, rien qui n'ait déjà été montré dans un film de turbo-collants...
Et pourtant, on passe un bon moment. Un bon moment sans aucune surprise, mais un bon moment.
Cette fois l'adversaire de l'homme-araignée est une grosse source d’électricité, extrêmement bien rendue à l'écran, de même que les cascades et les effets bullet time à gogo. Une excellente maîtrise de l'espace filmique, donc, pour des acteurs égaux à eux-mêmes (ce n'est pas comme si on ne les connaissait pas !)
Sur le fond vous imaginez bien qu'avec un scénario aussi raplapla, on ne pouvait pas exiger la lune !
La jolie fifille, que Peter suit partout, doit poursuivre ses études à l'étranger (l'Amérique, cette pilleuse de talents, va-t-elle laisser l'homme aux toiles s'expatrier et cesser de protéger sa bonne populace ?). Comment les deux tourtereaux vont-ils gérer leur amour ?
Peter avait promis à son père de ne pas l'impliquer dans ses affaires à huit pattes. Ce qui pointait déjà le bout de son nez dans l'épisode précédent explose comme une bulle de savon : Peter a fait tout le contraire et son remords le ronge. Comment les mêmes deux tourtereaux vont-ils gérer leur même amour ?
Enfin se pose la question de l'amitié que porte Peter à Harry. Celui-ci est atteint par un grave mal qui lui court sur le cou et pense que seul le sang de Spiderman, donc Peter, pourra le sauver. Super dilemme pour un super coco, bon, on fait quoi maintenant ?...
Espérons que le prochain épisode, prévu pour 2016, soit un peu plus original, parce que si on aime bien en avoir plein les mirettes, on préfère quand même prendre du plomb dans la cervelle !
Vous connaissez l'histoire de Paf l'araignée ? Ce sont quatre films, sur une araignée, qui ont rapporté quelques milliards de dollars au box-office, et paf ! Rev'là un film avec l'araignée !
Comme disait Coluche, tant que je gagne, je joue.
Les effets spéciaux sont aussi réussis que le scénario est original. C'est dire comme les effets spéciaux sont excellents ! Parce que côté scénario, même le bouche-à-bouche des deux amoureux ne le réanime pas : un gros monstre méchant parce que mal aimé, un Spiderman qui n'a pas perdu la forme, la jolie blondinette qui se pose des problèmes existentiels inexistants, une population ingrate et versatile à l'égard de notre héros, rien qui n'ait déjà été montré dans un film de turbo-collants...
Et pourtant, on passe un bon moment. Un bon moment sans aucune surprise, mais un bon moment.
Cette fois l'adversaire de l'homme-araignée est une grosse source d’électricité, extrêmement bien rendue à l'écran, de même que les cascades et les effets bullet time à gogo. Une excellente maîtrise de l'espace filmique, donc, pour des acteurs égaux à eux-mêmes (ce n'est pas comme si on ne les connaissait pas !)
Sur le fond vous imaginez bien qu'avec un scénario aussi raplapla, on ne pouvait pas exiger la lune !
La jolie fifille, que Peter suit partout, doit poursuivre ses études à l'étranger (l'Amérique, cette pilleuse de talents, va-t-elle laisser l'homme aux toiles s'expatrier et cesser de protéger sa bonne populace ?). Comment les deux tourtereaux vont-ils gérer leur amour ?
Peter avait promis à son père de ne pas l'impliquer dans ses affaires à huit pattes. Ce qui pointait déjà le bout de son nez dans l'épisode précédent explose comme une bulle de savon : Peter a fait tout le contraire et son remords le ronge. Comment les mêmes deux tourtereaux vont-ils gérer leur même amour ?
Enfin se pose la question de l'amitié que porte Peter à Harry. Celui-ci est atteint par un grave mal qui lui court sur le cou et pense que seul le sang de Spiderman, donc Peter, pourra le sauver. Super dilemme pour un super coco, bon, on fait quoi maintenant ?...
Espérons que le prochain épisode, prévu pour 2016, soit un peu plus original, parce que si on aime bien en avoir plein les mirettes, on préfère quand même prendre du plomb dans la cervelle !