Une nouvelle adaptation de l’univers de la bande-dessinée ! Quelques-unes ont été de cuisants échecs (Boule & Bill), d’autres de médiocres souvenirs (Michel Vaillant…). Comment ne pas rendre fous les anciens fans de Benoit Brisefer ? En respectant à la lettre la BD ! Pas ambitieux, pas risqué… et réussi, finalement.
On n’attend pas une réalisation psychédélique à la Jonathan Glazer, folle à la Baz Lurhman ou labyrinthique à la Nolan. Adapter une BD pour enfants, c’est rester fidèle à celle-ci afin d’en conserver avant tout l’esprit. Est là la totale réussite des Taxis Rouges.
Bonne humeur, innocence, louange enfantine de l’honnêteté de l’amitié, un bol d’air dans un cinéma qui a tendance à ne plus choisir qu’entre le réalisme dur et le délire machine à fric de la science-fiction (Avengers, pas Interstellar hein, ne mélangeons pas les torchons et les serviettes).
De la couleur, des sourires, un film court (1h17), des acteurs de métier agréables à retrouver (Jugnot, Reno, Lhermitte ; le gamin a de la marge de progression en revanche)… On respire !
Ensuite, gare aux adultes qui iront le voir : c’est un vrai film pour enfants. Les gags, péripéties, dialogues et caractères sont enfantins, destinés à amuser un public très jeune. Relisez la BD, et cessez de croire que c’était du Molière ! C’est juste mignon, sans prétention. Avec ça, on échappe aux farces grasses qui se multiplient dans les films pour enfants ; un autre bon choix.
Le film s’est donc voulu fidèle au maximum. Et si c’était comme ça qu’une adaptation plaît à coup sûr ? Ceux qui bossaient sur Boule & Bill pourront y réfléchir… En plus, c’est très sympa pour ceux qui se souviennent de la lecture de l’aventure de Peyo.
Sortie idéale pour les mômes, et pour ceux qui aiment retrouver de temps en temps leur âme d’enfant !
Une nouvelle adaptation de l’univers de la bande-dessinée ! Quelques-unes ont été de cuisants échecs (Boule & Bill), d’autres de médiocres souvenirs (Michel Vaillant…). Comment ne pas rendre fous les anciens fans de Benoit Brisefer ? En respectant à la lettre la BD ! Pas ambitieux, pas risqué… et réussi, finalement.
On n’attend pas une réalisation psychédélique à la Jonathan Glazer, folle à la Baz Lurhman ou labyrinthique à la Nolan. Adapter une BD pour enfants, c’est rester fidèle à celle-ci afin d’en conserver avant tout l’esprit. Est là la totale réussite des Taxis Rouges.
Bonne humeur, innocence, louange enfantine de l’honnêteté de l’amitié, un bol d’air dans un cinéma qui a tendance à ne plus choisir qu’entre le réalisme dur et le délire machine à fric de la science-fiction (Avengers, pas Interstellar hein, ne mélangeons pas les torchons et les serviettes).
De la couleur, des sourires, un film court (1h17), des acteurs de métier agréables à retrouver (Jugnot, Reno, Lhermitte ; le gamin a de la marge de progression en revanche)… On respire !
Ensuite, gare aux adultes qui iront le voir : c’est un vrai film pour enfants. Les gags, péripéties, dialogues et caractères sont enfantins, destinés à amuser un public très jeune. Relisez la BD, et cessez de croire que c’était du Molière ! C’est juste mignon, sans prétention. Avec ça, on échappe aux farces grasses qui se multiplient dans les films pour enfants ; un autre bon choix.
Le film s’est donc voulu fidèle au maximum. Et si c’était comme ça qu’une adaptation plaît à coup sûr ? Ceux qui bossaient sur Boule & Bill pourront y réfléchir… En plus, c’est très sympa pour ceux qui se souviennent de la lecture de l’aventure de Peyo.
Sortie idéale pour les mômes, et pour ceux qui aiment retrouver de temps en temps leur âme d’enfant !