Vous vous souvenez de cette ridicule hôtesse du District 12 dans Hunger Games ? Hé bien c'est elle, Elisabeth Banks, de retour dans un film qui la met beaucoup plus en valeur (elle est en fait très belle !).
Dommage cependant que ce film soit aussi mièvre.
Dès le départ, le ressort scénaristique est déjà assez faible. Une journaliste qui enchaîne les maladresses et se retrouve dans le pétrin, c'est mignon, mais difficile de tenir 1h35 avec ça, à moins d'avoir le burlesque chevillé au corps à la Mister Bean ou Laurel et Hardy. On a beau essayer de pimenter le tout avec deux copines poufs et cinglées, et greffer là-dessus une histoire d'amour aussi plate que la plaine du Pô, quand la mayonnaise ne prend pas, elle ne prend pas.
A signaler cependant une scène assez hilarante avec un chat fou, très bien filmée alors que le reste du film est monté et capté de façon très conventionnelle, et l'idée de la robe jaune, excellente démarche marketing qui singularise Elisabeth Banks et renvoie au parapluie jaune de How I met your mother.
Sur le fond, pas grand-chose à dire. L'histoire d'amour ne décolle pas et James Marsden, le bellâtre du film, ne sert à rien.
Le deuxième thème est celui de la journaliste carriériste qui va découvrir au cours de son périple qu'il faut être sincère avec le public. Cette question est une nouvelle fois un gros plantage. Le discours télévisuel final n'a ni saveur, ni consistance.
Le troisième thème, également mal traité (ce n'est pas de l'acharnement, mais je ne peux quand même pas te trahir, lecteur de mon cœur !), est celui de la diversité sociale de Los Angeles. Aucun intérêt.
Plat, très plat, trop plat…
En même temps Steven Brill, qui a très peu réalisé, ne nous a jamais habitué à de la grande qualité, mais le plus étonnant, c'est que les producteurs d'un film comme La défense Lincoln se soient autant ramassés !
Après c'est vous qui voyez… Vous avez peut-être 9 € à perdre !
Vous vous souvenez de cette ridicule hôtesse du District 12 dans Hunger Games ? Hé bien c'est elle, Elisabeth Banks, de retour dans un film qui la met beaucoup plus en valeur (elle est en fait très belle !).
Dommage cependant que ce film soit aussi mièvre.
Dès le départ, le ressort scénaristique est déjà assez faible. Une journaliste qui enchaîne les maladresses et se retrouve dans le pétrin, c'est mignon, mais difficile de tenir 1h35 avec ça, à moins d'avoir le burlesque chevillé au corps à la Mister Bean ou Laurel et Hardy. On a beau essayer de pimenter le tout avec deux copines poufs et cinglées, et greffer là-dessus une histoire d'amour aussi plate que la plaine du Pô, quand la mayonnaise ne prend pas, elle ne prend pas.
A signaler cependant une scène assez hilarante avec un chat fou, très bien filmée alors que le reste du film est monté et capté de façon très conventionnelle, et l'idée de la robe jaune, excellente démarche marketing qui singularise Elisabeth Banks et renvoie au parapluie jaune de How I met your mother.
Sur le fond, pas grand-chose à dire. L'histoire d'amour ne décolle pas et James Marsden, le bellâtre du film, ne sert à rien.
Le deuxième thème est celui de la journaliste carriériste qui va découvrir au cours de son périple qu'il faut être sincère avec le public. Cette question est une nouvelle fois un gros plantage. Le discours télévisuel final n'a ni saveur, ni consistance.
Le troisième thème, également mal traité (ce n'est pas de l'acharnement, mais je ne peux quand même pas te trahir, lecteur de mon cœur !), est celui de la diversité sociale de Los Angeles. Aucun intérêt.
Plat, très plat, trop plat…
En même temps Steven Brill, qui a très peu réalisé, ne nous a jamais habitué à de la grande qualité, mais le plus étonnant, c'est que les producteurs d'un film comme La défense Lincoln se soient autant ramassés !
Après c'est vous qui voyez… Vous avez peut-être 9 € à perdre !