Après Félins (2011), Disney remet le couvert avec ce film documentaire très bien réalisé, qui nous fait suivre les traces d'Oscar, un petit Chimpanzé, dans la forêt équatoriale africaine.
La vie d'Oscar est chouette, mais pas trop quand même... Comme tous les animaux, il ne glande rien de la journée et ne connaît pas Facebook, mais sa vivacité et sa drôlerie en font un objet décoratif tout à fait à sa place dans nos cinémas.
Petits et grands découvriront donc le quotidien de ces animaux fascinants que sont les chimpanzés, préoccupés par la survie (manger, boire et dormir), la reproduction (quoique le sujet n'est pas tellement abordé dans le film) et les guerres de territoires (le chef d'une bande de vilains chimpanzés s'appelle Scar, cherchez la référence !)
Bien entendu, on a le droit dès l'introduction à la rituelle auto-flagellation du journaliste « conscientisationné, » qui nous présente une forêt « protégée de ce que nous appelons civilisation. »
Bref, les hommes ne sont que de grands méchants, mais il faut reconnaître que le message n'est pas aussi lourdement appuyé que dans les vrais films militants. Il semble donc que présenter la beauté naturelle suffise à prêcher pour la paroisse de Dame nature, et l'on ne saurait s'en plaindre.
Car à n'en pas douter ce film est contemplatif. Cantonnée au niveau physique (et non métaphysique ou théologique) cette contemplation n'en est pas moins réelle, et la bande son vient ici encourager le recueillement devant certaines images éblouissantes dont on paraît ne jamais se lasser (comme ces formidables cascades découpant de longues lignes de vie dans la jungle impénétrable).
Après Félins (2011), Disney remet le couvert avec ce film documentaire très bien réalisé, qui nous fait suivre les traces d'Oscar, un petit Chimpanzé, dans la forêt équatoriale africaine.
La vie d'Oscar est chouette, mais pas trop quand même... Comme tous les animaux, il ne glande rien de la journée et ne connaît pas Facebook, mais sa vivacité et sa drôlerie en font un objet décoratif tout à fait à sa place dans nos cinémas.
Petits et grands découvriront donc le quotidien de ces animaux fascinants que sont les chimpanzés, préoccupés par la survie (manger, boire et dormir), la reproduction (quoique le sujet n'est pas tellement abordé dans le film) et les guerres de territoires (le chef d'une bande de vilains chimpanzés s'appelle Scar, cherchez la référence !)
Bien entendu, on a le droit dès l'introduction à la rituelle auto-flagellation du journaliste « conscientisationné, » qui nous présente une forêt « protégée de ce que nous appelons civilisation. »
Bref, les hommes ne sont que de grands méchants, mais il faut reconnaître que le message n'est pas aussi lourdement appuyé que dans les vrais films militants. Il semble donc que présenter la beauté naturelle suffise à prêcher pour la paroisse de Dame nature, et l'on ne saurait s'en plaindre.
Car à n'en pas douter ce film est contemplatif. Cantonnée au niveau physique (et non métaphysique ou théologique) cette contemplation n'en est pas moins réelle, et la bande son vient ici encourager le recueillement devant certaines images éblouissantes dont on paraît ne jamais se lasser (comme ces formidables cascades découpant de longues lignes de vie dans la jungle impénétrable).