Un jeune ange policier trop gentil (pour rester poli) se fait pourrir la vie par des types sans foi ni loi. La distance entre pratiques des hommes de justice et leur surnom lointain de « gardiens de la paix » donne lieu à une explosion de réglages de comptes.
Alors que le film tournait en polar sous haute tension, sur fond de guerres des polices, il explose littéralement en plein vol.
L’histoire tourne au massacre, et par cette violence lourde et peu crédible, le film se saborde tout seul. Dommage, jusque-là, on accrochait.
Honnêteté et intégrité sont manifestement impossibles à conserver dans ce fatras. Un bilan pessimiste, sans doute fort romancé (j’espère !).
Bien filmé, rythmé, Colt 45 pâtit d’une musique et d’effets de sons soignés mais … assourdissants ! A vouloir trop bien faire …
Gérard Lanvin, toujours au taquet pour faire les flics durs, sauve le film, mais on ne garde pas un grand souvenir de l’ensemble. Le film se suicide au moment où il devenait intéressant !
Un jeune ange policier trop gentil (pour rester poli) se fait pourrir la vie par des types sans foi ni loi. La distance entre pratiques des hommes de justice et leur surnom lointain de « gardiens de la paix » donne lieu à une explosion de réglages de comptes.
Alors que le film tournait en polar sous haute tension, sur fond de guerres des polices, il explose littéralement en plein vol.
L’histoire tourne au massacre, et par cette violence lourde et peu crédible, le film se saborde tout seul. Dommage, jusque-là, on accrochait.
Honnêteté et intégrité sont manifestement impossibles à conserver dans ce fatras. Un bilan pessimiste, sans doute fort romancé (j’espère !).
Bien filmé, rythmé, Colt 45 pâtit d’une musique et d’effets de sons soignés mais … assourdissants ! A vouloir trop bien faire …
Gérard Lanvin, toujours au taquet pour faire les flics durs, sauve le film, mais on ne garde pas un grand souvenir de l’ensemble. Le film se suicide au moment où il devenait intéressant !