Ne faites pas de mauvais esprit sur Josiane Balasko jouant les idiotes. Quand cette actrice essaie, tant bien que mal, de quitter ses moues vulgaires et son langage cru, il s'agit d'un progrès ! Elle n'y arrive pas totalement, certes, mais enfin, c'est mieux que rien !
Quant à Michel Blanc, je l'ai rencontré une fois, à la Garden Party du ministre de la Défense. Il était aussi imbuvable que dans son film, ce qui signifie probablement, laissons-lui le bénéfice du doute, qu'il ne s'agit pas en l’occurrence d'un rôle de composition.
Le scénario est terriblement plat et conventionnel. Un homme apprend à devenir meilleur au contact de l'innocence, thème inlassablement repris par le cinéma tant français qu'hollywoodien. Aucune surprise : tout est « téléphoné. » Habituellement les critiques de cinéma, blasés, ne rient pas devant les films qui font s'esclaffer le public. Ici la pellicule mettra tout le monde d'accord : on ne rit pas.
Le film n'est cependant pas exempt d'émotions, qui nous sont communiquées par un piano soulignant quelques scènes familiales sous les doigts experts de Michel Blanc, par ailleurs pianiste professionnel.
Sur le fond, donc, pas grand chose à dire. L'absence de prise de risque scénaristique se répercute sur les idées, plates et sans envergure. L'entourage de Michel Blanc se ressoude au fur et à mesure de sa progression, et Nénette reste invariablement simplette pendant tout le film. La morale est simple et assez saine : l'important c'est la famille, l'amour et les autres. Mouais...
Ne faites pas de mauvais esprit sur Josiane Balasko jouant les idiotes. Quand cette actrice essaie, tant bien que mal, de quitter ses moues vulgaires et son langage cru, il s'agit d'un progrès ! Elle n'y arrive pas totalement, certes, mais enfin, c'est mieux que rien !
Quant à Michel Blanc, je l'ai rencontré une fois, à la Garden Party du ministre de la Défense. Il était aussi imbuvable que dans son film, ce qui signifie probablement, laissons-lui le bénéfice du doute, qu'il ne s'agit pas en l’occurrence d'un rôle de composition.
Le scénario est terriblement plat et conventionnel. Un homme apprend à devenir meilleur au contact de l'innocence, thème inlassablement repris par le cinéma tant français qu'hollywoodien. Aucune surprise : tout est « téléphoné. » Habituellement les critiques de cinéma, blasés, ne rient pas devant les films qui font s'esclaffer le public. Ici la pellicule mettra tout le monde d'accord : on ne rit pas.
Le film n'est cependant pas exempt d'émotions, qui nous sont communiquées par un piano soulignant quelques scènes familiales sous les doigts experts de Michel Blanc, par ailleurs pianiste professionnel.
Sur le fond, donc, pas grand chose à dire. L'absence de prise de risque scénaristique se répercute sur les idées, plates et sans envergure. L'entourage de Michel Blanc se ressoude au fur et à mesure de sa progression, et Nénette reste invariablement simplette pendant tout le film. La morale est simple et assez saine : l'important c'est la famille, l'amour et les autres. Mouais...