Ernest est un gros ours ronchon, et Célestine une petite sourie curieuse et innocente. Tous deux ont besoin d'ouvrir leurs horizons et finissent par se rencontrer.
Autour d'eux une véritable caricature qui ne devrait pas gêner les enfants. Deux méchantes sociétés, les ours d'un côté et les souris de l'autre, qui persécutent quiconque essaie d'établir un pont entre les deux. Peut-être faudra-t-il expliquer aux bambins que les règles sociales ne sont pas des lois pondues sans raison pour asservir les gens. Je dis ça, je ne dis rien...
Quoiqu'il en soit, au milieu de tout cela, la gentille Célestine n'a d'autre ambition que de vivre une belle histoire d'amitié, tandis que le gros nounours a simplement faim, en bon saltimbanque qu'il est.
La morale de l'histoire est très sympa : petites filles, si un gros monsieur veut être votre ami dans les aires de jeux, n'écoutez pas vos parents et la société qui voient le mal partout. Donnez-lui tout votre amour !
Je me marre. Ce n'est pas le message, évidemment (enfin j'espère !), mais ma nature de papa de quatre petites filles n'a pas pu s'empêcher de faire un rapprochement. Fou comme cette société nous fait voir le mal partout !
Plus sérieusement ce film d'animation est un petit bijou. Les traits ouverts de Gabrielle Vincent (l'auteure du livre éponyme) sont tracés à L'écran de façon tout à fait convaincante. La musique est appropriée et la chanson de Thomas Fersen, assez proche de ce qu'aurait pu faire un Bénabar, ajoute encore une touche de gaieté.
Un sympathique petit moment, simple et efficace, qui fera sourire les plus grands, et vibrer les marmots.
Ernest est un gros ours ronchon, et Célestine une petite sourie curieuse et innocente. Tous deux ont besoin d'ouvrir leurs horizons et finissent par se rencontrer.
Autour d'eux une véritable caricature qui ne devrait pas gêner les enfants. Deux méchantes sociétés, les ours d'un côté et les souris de l'autre, qui persécutent quiconque essaie d'établir un pont entre les deux. Peut-être faudra-t-il expliquer aux bambins que les règles sociales ne sont pas des lois pondues sans raison pour asservir les gens. Je dis ça, je ne dis rien...
Quoiqu'il en soit, au milieu de tout cela, la gentille Célestine n'a d'autre ambition que de vivre une belle histoire d'amitié, tandis que le gros nounours a simplement faim, en bon saltimbanque qu'il est.
La morale de l'histoire est très sympa : petites filles, si un gros monsieur veut être votre ami dans les aires de jeux, n'écoutez pas vos parents et la société qui voient le mal partout. Donnez-lui tout votre amour !
Je me marre. Ce n'est pas le message, évidemment (enfin j'espère !), mais ma nature de papa de quatre petites filles n'a pas pu s'empêcher de faire un rapprochement. Fou comme cette société nous fait voir le mal partout !
Plus sérieusement ce film d'animation est un petit bijou. Les traits ouverts de Gabrielle Vincent (l'auteure du livre éponyme) sont tracés à L'écran de façon tout à fait convaincante. La musique est appropriée et la chanson de Thomas Fersen, assez proche de ce qu'aurait pu faire un Bénabar, ajoute encore une touche de gaieté.
Un sympathique petit moment, simple et efficace, qui fera sourire les plus grands, et vibrer les marmots.