« E.T. téléphone maison. » Ces trois mots ont marqué toute une génération de bambins et même de plus grands. C’est que E.T. est tellement attachant !!! Ou du moins autant qu’un jambon ridé sur pattes et qui parlerait…
Quand le film est sorti en 1982, on aurait pu croire à un film d’horreur tant l’histoire est amenée de façon à provoquer suspense, surprise et peur. Spielberg est le roi du divertissement, ne l’oublions pas. Il sait jouer sur la gamme des émotions, manier les effets spéciaux et diriger la caméra. Et tout au long du film, même quand on a compris que le lutin est un extra-terrestre sympathique et inoffensif, on se demande qui sont ces gens mystérieux et en particulier, cet homme au trousseau de clés dont on ne connaît pas le visage mais dont on voit les clés en gros plan. Le mystère plane. L’intérêt est soutenu.
Quelques images sont restées célèbres et on a pu revoir dans d’autres films ce vélo volant devant la lune, devenu le logo de la société de production du réalisateur. La course poursuite – vélos contre voitures de flics- est assez légendaire également. Bref, il y a de l’action, du mystère, des passages assez comiques, de la féérie ainsi que des clins d’œil à Star Wars. E.T. est resté 11 onze ans d’affilée en tête du box office avant d’en être détrôné par Jurassic Park de…Spielberg. C’est l’histoire d’un petit garçon qui se lie d’amitié avec un extra-terrestre alors que ses parents se sont séparés il y a peu. La famille y est dépeinte avec beaucoup de réalisme : taquineries du grand frère auxquelles se mêlent les copains, spontanéité de la petite sœur jouée par Drew Barrymore, et tristesse causée par l’absence du père. C’est la toile de fond du film. L’histoire de cet extra-terrestre découvert par Elioth, un petit garçon solitaire interprété par le jeune et talentueux Henry Thomas, n’engendre pas de réflexions transcendantales. Mais E.T. est un bon et agréable divertissement ! Et même pour ceux qui ne sont pas particulièrement branchés science-fiction. Une fois, bien sûr, qu’ils sont familiarisés avec le visage de E .T. qui est un mélange de ceux d’Einstein, de Carl Sandburg, homme de lettres américain et du chat d’un des concepteurs !
« E.T. téléphone maison. » Ces trois mots ont marqué toute une génération de bambins et même de plus grands. C’est que E.T. est tellement attachant !!! Ou du moins autant qu’un jambon ridé sur pattes et qui parlerait…
Quand le film est sorti en 1982, on aurait pu croire à un film d’horreur tant l’histoire est amenée de façon à provoquer suspense, surprise et peur. Spielberg est le roi du divertissement, ne l’oublions pas. Il sait jouer sur la gamme des émotions, manier les effets spéciaux et diriger la caméra. Et tout au long du film, même quand on a compris que le lutin est un extra-terrestre sympathique et inoffensif, on se demande qui sont ces gens mystérieux et en particulier, cet homme au trousseau de clés dont on ne connaît pas le visage mais dont on voit les clés en gros plan. Le mystère plane. L’intérêt est soutenu.
Quelques images sont restées célèbres et on a pu revoir dans d’autres films ce vélo volant devant la lune, devenu le logo de la société de production du réalisateur. La course poursuite – vélos contre voitures de flics- est assez légendaire également. Bref, il y a de l’action, du mystère, des passages assez comiques, de la féérie ainsi que des clins d’œil à Star Wars. E.T. est resté 11 onze ans d’affilée en tête du box office avant d’en être détrôné par Jurassic Park de…Spielberg. C’est l’histoire d’un petit garçon qui se lie d’amitié avec un extra-terrestre alors que ses parents se sont séparés il y a peu. La famille y est dépeinte avec beaucoup de réalisme : taquineries du grand frère auxquelles se mêlent les copains, spontanéité de la petite sœur jouée par Drew Barrymore, et tristesse causée par l’absence du père. C’est la toile de fond du film. L’histoire de cet extra-terrestre découvert par Elioth, un petit garçon solitaire interprété par le jeune et talentueux Henry Thomas, n’engendre pas de réflexions transcendantales. Mais E.T. est un bon et agréable divertissement ! Et même pour ceux qui ne sont pas particulièrement branchés science-fiction. Une fois, bien sûr, qu’ils sont familiarisés avec le visage de E .T. qui est un mélange de ceux d’Einstein, de Carl Sandburg, homme de lettres américain et du chat d’un des concepteurs !