Les amateurs de gros bras poilus et de bouchers souriant ne vont pas être déçus : les « expendable » reviennent dans un troisième volet plein de testostérone !
Inutile de présenter les acteurs. Deux générations de films d'action (et même trois, en fait, puisque des acteurs comme Wesley Snipes ou Jet Li ne sont ni de la génération d'Arnold Schwarzenegger ou d'Harrison Ford, ni de celle de Kellan Lutz…) se côtoient donc autour d'un Sylvester Stallone qui en profite pour mettre le pied à l'étrier au jeune réalisateur Patrick Hughes.
Preuve que c'est bien Sly (son surnom dans le show-biz!) qui est aux commandes, c'est qu'on y retrouve ses obsessions habituelles (d'ailleurs Lionsgate et Millenium Films, les deux principaux producteurs, sont les partenaires de l'acteur) : le mythe du gros guerrier rongé par son passé d'abord, éclos à l'époque de Rambo et imprégnant ses films depuis ; le thème de l'amitié ensuite, éprouvé par une équipe conçue comme une famille, qu'on ne trahit pas sans en payer les conséquences ; la fracture générationnelle ensuite, à deux niveaux : celui des différentes générations d'acteurs, mais également dans l'histoire, avec des guerriers high-tech succédant aux baroudeurs d'antan.
La dynamique du film est absolument toujours la même : un gros méchant très dangereux, des types qui comparent leurs biscotos en permanence, des répliques de bourrins, un gouvernement pas tout rose, bref… la routine. Mais pour la petite histoire : quand Sly dégaine dans le film et tue six types, rien n'est truqué (enfin si : la mort des types; mais à part ça il dégaine aussi vite que montré, soit deux fois moins vite qu'un vrai tireur).
Les amateurs de gros bras poilus et de bouchers souriant ne vont pas être déçus : les « expendable » reviennent dans un troisième volet plein de testostérone !
Inutile de présenter les acteurs. Deux générations de films d'action (et même trois, en fait, puisque des acteurs comme Wesley Snipes ou Jet Li ne sont ni de la génération d'Arnold Schwarzenegger ou d'Harrison Ford, ni de celle de Kellan Lutz…) se côtoient donc autour d'un Sylvester Stallone qui en profite pour mettre le pied à l'étrier au jeune réalisateur Patrick Hughes.
Preuve que c'est bien Sly (son surnom dans le show-biz!) qui est aux commandes, c'est qu'on y retrouve ses obsessions habituelles (d'ailleurs Lionsgate et Millenium Films, les deux principaux producteurs, sont les partenaires de l'acteur) : le mythe du gros guerrier rongé par son passé d'abord, éclos à l'époque de Rambo et imprégnant ses films depuis ; le thème de l'amitié ensuite, éprouvé par une équipe conçue comme une famille, qu'on ne trahit pas sans en payer les conséquences ; la fracture générationnelle ensuite, à deux niveaux : celui des différentes générations d'acteurs, mais également dans l'histoire, avec des guerriers high-tech succédant aux baroudeurs d'antan.
La dynamique du film est absolument toujours la même : un gros méchant très dangereux, des types qui comparent leurs biscotos en permanence, des répliques de bourrins, un gouvernement pas tout rose, bref… la routine. Mais pour la petite histoire : quand Sly dégaine dans le film et tue six types, rien n'est truqué (enfin si : la mort des types; mais à part ça il dégaine aussi vite que montré, soit deux fois moins vite qu'un vrai tireur).