On ne va pas y aller par quatre chemins : comme je l'écrivais à la sortie de l'épisode 5, Fast and furious c'est : des gros bras, des voitures et des filles. Pour ce nouvel opus, c'est toujours des gros bras, des voitures… et des filles… Avec cette éternelle et fameuse contradiction des femmes qu'on aime (la sœur de Dominique, le héros charismatique), et des femmes qui servent juste, dans le meilleur des cas, à décorer (les bimbos folles du string qui gravitent autour du monde des voitures).
Les effets spéciaux sont, quant à eux, très sérieux, mais campent un univers où les événements sont si invraisemblables qu'ils en deviennent franchement ridicules. On sait que les épisodes précédents n'étaient déjà pas piqués des hannetons, mais là on atteint des sommets. Des voitures parachutées, des chutes spectaculaires dont tout le monde ressort indemne ou, au moins, vivant… Du grand n'importe quoi !
Le thème est toujours le même : préserver la famille au milieu d'une avalanche d'événements violents, soudains, et incontrôlables, déclenchés par un gros vilain, en l'occurrence Jason Statham, qui est trop cool parce qu'il a une belle caisse et des lunettes de soleil.
La méthode pour profiter du film ? Débrancher son cerveau et là, sincèrement, on passe un bon moment. Un seul problème : de temps en temps le cerveau se rebranche tout seul déclenchant des moments de lucidité qui peuvent provisoirement gâcher le plaisir.
La grande nouveauté de cet épisode est évidemment ce dont tout le monde parle : l'interprétation de Paul Walker, décédé pendant le tournage d'un… accident de voiture (ne rigolez pas, ce n'est vraiment pas respectueux). Celui-ci a donc été remplacé dans certaines scènes par ses frères, et on ne voit effectivement aucune différence.
Voilà pour ce film d'une très grande valeur cinématographique mais, surtout, philosophique. Un grand moment de culture raffinée, d'humilité, d'esprit de pauvreté et de pureté...
On ne va pas y aller par quatre chemins : comme je l'écrivais à la sortie de l'épisode 5, Fast and furious c'est : des gros bras, des voitures et des filles. Pour ce nouvel opus, c'est toujours des gros bras, des voitures… et des filles… Avec cette éternelle et fameuse contradiction des femmes qu'on aime (la sœur de Dominique, le héros charismatique), et des femmes qui servent juste, dans le meilleur des cas, à décorer (les bimbos folles du string qui gravitent autour du monde des voitures).
Les effets spéciaux sont, quant à eux, très sérieux, mais campent un univers où les événements sont si invraisemblables qu'ils en deviennent franchement ridicules. On sait que les épisodes précédents n'étaient déjà pas piqués des hannetons, mais là on atteint des sommets. Des voitures parachutées, des chutes spectaculaires dont tout le monde ressort indemne ou, au moins, vivant… Du grand n'importe quoi !
Le thème est toujours le même : préserver la famille au milieu d'une avalanche d'événements violents, soudains, et incontrôlables, déclenchés par un gros vilain, en l'occurrence Jason Statham, qui est trop cool parce qu'il a une belle caisse et des lunettes de soleil.
La méthode pour profiter du film ? Débrancher son cerveau et là, sincèrement, on passe un bon moment. Un seul problème : de temps en temps le cerveau se rebranche tout seul déclenchant des moments de lucidité qui peuvent provisoirement gâcher le plaisir.
La grande nouveauté de cet épisode est évidemment ce dont tout le monde parle : l'interprétation de Paul Walker, décédé pendant le tournage d'un… accident de voiture (ne rigolez pas, ce n'est vraiment pas respectueux). Celui-ci a donc été remplacé dans certaines scènes par ses frères, et on ne voit effectivement aucune différence.
Voilà pour ce film d'une très grande valeur cinématographique mais, surtout, philosophique. Un grand moment de culture raffinée, d'humilité, d'esprit de pauvreté et de pureté...