Tout est dans le titre ; comprenez « vivez jusqu'au bout ». Dodge, un vieux garçon ind&
eacute;cis, et Penny, jeune fille déboussolée et totalement inconsciente, veulent rattraper le passé, alors que la fin du monde approche ; mais leur rencontre va tout changer. L'un et l'autre, après avoir végété jusque-là, comprennent enfin la valeur de l'instant présent. Diamétralement opposés, ils se lancent malgré tout dans leur derniers projets. La relation qui se noue entre eux donne lieu naturellement à des changements : Dodge et Penny apprennent à aller chercher le bonheur là où il se trouve. Malheureusement, ce bouleversement se met en place artificiellement. Un bémol regrettable, qui rend l'évolution du film et des personnages superficielle, brusque, dans des scènes qui réunissent parfois trop de clichés d'hymnes à la vie.
Ceci étant dit, Keira Knightley livre une prestation plus juste et
vraie que nature, et Steve Carell nous montre ce qu'il sait faire en dehors du comique ; il est toutefois gâché par ces erreurs de scénario ...
L'histoire observe les différentes réactions face à la mort ; le désespoir et l'acrasie de certains s'opposent à la volonté farouche de Dodge et Penny de combler les lacunes de leur existence. Ils comprennent que même si on se sait condamné, la vie a encore un sens. « Philosopher, c'est apprendre à mourir » dirait Platon en sortant de la salle.
Une palme à la mise en scène soignée, qui laisse beaucoup de temps aux acteurs pour s'exprimer subtilement. Un film spécial, qu'on oublie pas, sans toutefois l'admirer, faute à quelques incohérences ou légèretés romantiques.
Tout est dans le titre ; comprenez « vivez jusqu'au bout ». Dodge, un vieux garçon ind& eacute;cis, et Penny, jeune fille déboussolée et totalement inconsciente, veulent rattraper le passé, alors que la fin du monde approche ; mais leur rencontre va tout changer. L'un et l'autre, après avoir végété jusque-là, comprennent enfin la valeur de l'instant présent. Diamétralement opposés, ils se lancent malgré tout dans leur derniers projets. La relation qui se noue entre eux donne lieu naturellement à des changements : Dodge et Penny apprennent à aller chercher le bonheur là où il se trouve. Malheureusement, ce bouleversement se met en place artificiellement. Un bémol regrettable, qui rend l'évolution du film et des personnages superficielle, brusque, dans des scènes qui réunissent parfois trop de clichés d'hymnes à la vie.
Ceci étant dit, Keira Knightley livre une prestation plus juste et vraie que nature, et Steve Carell nous montre ce qu'il sait faire en dehors du comique ; il est toutefois gâché par ces erreurs de scénario ...
L'histoire observe les différentes réactions face à la mort ; le désespoir et l'acrasie de certains s'opposent à la volonté farouche de Dodge et Penny de combler les lacunes de leur existence. Ils comprennent que même si on se sait condamné, la vie a encore un sens. « Philosopher, c'est apprendre à mourir » dirait Platon en sortant de la salle.
Une palme à la mise en scène soignée, qui laisse beaucoup de temps aux acteurs pour s'exprimer subtilement. Un film spécial, qu'on oublie pas, sans toutefois l'admirer, faute à quelques incohérences ou légèretés romantiques.