Décidément chaque événement a son film ! La semaine précédente, le Hellfest faisait sa promotion ; cette fois c'est le Tour de France (on attend avec impatience celle des aquariophiles et des JMJ !)...
Nous voilà donc immergés dans les coulisses de la course cycliste la plus célèbre du monde, avec toutes ses passions, ses vices et ses trahisons. Mais point trop n'en faut ! On imagine bien que si le film est censé faire la promotion du Tour, il ne faut pas que sa réputation en soit trop écornée. L'idée générale est donc de redonner de la noblesse au tour : le coureur cycliste favori est narcissique et agressif mais finit avec panache, les accusations de dopage s'avèrent fausses, les présentateurs sont à la fois opportunistes et sympathiques, etc.
Clovis Cornillac, quant à lui, donne toute sa mesure. Ses airs de petit garçon ne portent pas préjudice à son charisme, son jeu est sincère et ses préoccupations sérieuses. Sa relation familiale n'est en effet pas toute rose puisque, c'est la mode, sa femme ne supporte pas l'investissement de son mari pour son métier (quelle insulte pour celles qui pleurent en espérant que leurs maris trouvent un travail !), et les affections musicales de son fils ne sont pas à son goût. Le message de ce film est assez banal (remettre chaque chose du cœur à sa place), mais assez bien traité.
Le tout fait donc la promotion, dans la bonne humeur, du courage, de l'humilité et de l'esprit de famille. C'eût été un film familial assez réussi sans la paire de fesses qui prétend nourrir la comédie mais apparaît finalement comme un cheveu sur la soupe.
Décidément chaque événement a son film ! La semaine précédente, le Hellfest faisait sa promotion ; cette fois c'est le Tour de France (on attend avec impatience celle des aquariophiles et des JMJ !)...
Nous voilà donc immergés dans les coulisses de la course cycliste la plus célèbre du monde, avec toutes ses passions, ses vices et ses trahisons. Mais point trop n'en faut ! On imagine bien que si le film est censé faire la promotion du Tour, il ne faut pas que sa réputation en soit trop écornée. L'idée générale est donc de redonner de la noblesse au tour : le coureur cycliste favori est narcissique et agressif mais finit avec panache, les accusations de dopage s'avèrent fausses, les présentateurs sont à la fois opportunistes et sympathiques, etc.
Clovis Cornillac, quant à lui, donne toute sa mesure. Ses airs de petit garçon ne portent pas préjudice à son charisme, son jeu est sincère et ses préoccupations sérieuses. Sa relation familiale n'est en effet pas toute rose puisque, c'est la mode, sa femme ne supporte pas l'investissement de son mari pour son métier (quelle insulte pour celles qui pleurent en espérant que leurs maris trouvent un travail !), et les affections musicales de son fils ne sont pas à son goût. Le message de ce film est assez banal (remettre chaque chose du cœur à sa place), mais assez bien traité.
Le tout fait donc la promotion, dans la bonne humeur, du courage, de l'humilité et de l'esprit de famille. C'eût été un film familial assez réussi sans la paire de fesses qui prétend nourrir la comédie mais apparaît finalement comme un cheveu sur la soupe.