Après Bienvenue à Gatacca et le plus récent Time Out, Andrew Nicoll revient avec un récit d’anticipation, écrit par Stephenie Meyer, auteur de la célèbre saga Twilight : Les Ames Vagabondes.
La science-fiction permet l’invasion de notre bonne vieille planète Terre par des âmes extra-terrestres, la prise de possession de l’identité des humains, ainsi que la résistance d’une minorité… Toute l’alchimie nécessaire semblait être réunie pour poser la question existentielle qu’est la liberté humaine et pourquoi elle prend toute son importance face à une dictature, violente, ou d’apparence pacifique mais non moins nocive, comme c’est le cas dans ce récit…
Le spectateur reste malheureusement sur sa faim… Autant la première partie du film peut laisser encore quelque espoir sur une réflexion plausible, autant la seconde partie du film est complètement décevante : il reste uniquement place au conflit intérieur qui habite Saoirse Ronan.
On assiste donc à un conflit de sentiments amoureux vécus par deux âmes réunies dans un seul et même corps, et la profondeur philosophique à laquelle on était en droit de s’attendre d’un tel scénario est bel et bien absente…
Outre cette déception-là, on ressent un certain malaise du fait que le but final du réalisateur est difficile à cerner : veut-il nous montrer que la résistance est fondée ? ou nous livre-t-il une leçon de morale « gnangnan » qui se résumerait à ne jamais considérer l’autre comme un ennemi – la connaissance mutuelle permettant à tous de cohabiter dans un monde merveilleux ?
Après Bienvenue à Gatacca et le plus récent Time Out, Andrew Nicoll revient avec un récit d’anticipation, écrit par Stephenie Meyer, auteur de la célèbre saga Twilight : Les Ames Vagabondes.
La science-fiction permet l’invasion de notre bonne vieille planète Terre par des âmes extra-terrestres, la prise de possession de l’identité des humains, ainsi que la résistance d’une minorité… Toute l’alchimie nécessaire semblait être réunie pour poser la question existentielle qu’est la liberté humaine et pourquoi elle prend toute son importance face à une dictature, violente, ou d’apparence pacifique mais non moins nocive, comme c’est le cas dans ce récit…
Le spectateur reste malheureusement sur sa faim… Autant la première partie du film peut laisser encore quelque espoir sur une réflexion plausible, autant la seconde partie du film est complètement décevante : il reste uniquement place au conflit intérieur qui habite Saoirse Ronan.
On assiste donc à un conflit de sentiments amoureux vécus par deux âmes réunies dans un seul et même corps, et la profondeur philosophique à laquelle on était en droit de s’attendre d’un tel scénario est bel et bien absente…
Outre cette déception-là, on ressent un certain malaise du fait que le but final du réalisateur est difficile à cerner : veut-il nous montrer que la résistance est fondée ? ou nous livre-t-il une leçon de morale « gnangnan » qui se résumerait à ne jamais considérer l’autre comme un ennemi – la connaissance mutuelle permettant à tous de cohabiter dans un monde merveilleux ?