Le prisonnier des salles de classe, né en 1992 dans le journal belge Tremplin avant de finir en 1997 dans Le Journal de Mickey, fait son retour au cinéma entre les mains du même réalisateur, entouré de nouvelles figures comme Pierre-François Martin-Laval, de la troupe des Robins des Bois, ou Bruno Salomone, qui en profite pour montrer que la comédie n'est pas son seul registre.
Le premier épisode, L'Elève Ducobu, aimait à flirter avec le graveleux. Dans ce deuxième épisode, le trait est bien plus forcé, dénotant même une certaine complaisance. Les attitudes de la mère de Léonie Gratin sont voulues sensuelles et la petite-fille elle-même a le
droit à sa pose sexy en maillot de bain. On retrouve l'état d'esprit de notre société frustrée où les vacances sont le plus souvent planifiées pour servir de défouloir. Le film tout entier est si libido-centré que l'indifférence de Ducobu pour la gente féminine fait figure d'ovni !
C'est bien dommage ! Il aurait été si facile de ne pas entraîner les enfants dans cette ambiance et de conserver ce qui fait le charme de la bande dessinée : l'espièglerie, l'ingéniosité, voire l'insolence du jeune garçon. La réalisation très honorable aurait pu en tirer le meilleur, cadrée par un script qui aurait pu utilement développer une chasse au trésor n’apparaissant ici que comme une intrigue secondaire.
Las ! Tout ceci est rongé par des histoires de c.
.. oeur... Dommage...
Le prisonnier des salles de classe, né en 1992 dans le journal belge Tremplin avant de finir en 1997 dans Le Journal de Mickey, fait son retour au cinéma entre les mains du même réalisateur, entouré de nouvelles figures comme Pierre-François Martin-Laval, de la troupe des Robins des Bois, ou Bruno Salomone, qui en profite pour montrer que la comédie n'est pas son seul registre.
Le premier épisode, L'Elève Ducobu, aimait à flirter avec le graveleux. Dans ce deuxième épisode, le trait est bien plus forcé, dénotant même une certaine complaisance. Les attitudes de la mère de Léonie Gratin sont voulues sensuelles et la petite-fille elle-même a le droit à sa pose sexy en maillot de bain. On retrouve l'état d'esprit de notre société frustrée où les vacances sont le plus souvent planifiées pour servir de défouloir. Le film tout entier est si libido-centré que l'indifférence de Ducobu pour la gente féminine fait figure d'ovni !
C'est bien dommage ! Il aurait été si facile de ne pas entraîner les enfants dans cette ambiance et de conserver ce qui fait le charme de la bande dessinée : l'espièglerie, l'ingéniosité, voire l'insolence du jeune garçon. La réalisation très honorable aurait pu en tirer le meilleur, cadrée par un script qui aurait pu utilement développer une chasse au trésor n’apparaissant ici que comme une intrigue secondaire.
Las ! Tout ceci est rongé par des histoires de c. .. oeur... Dommage...