Un film d’espionnage français réussi ? Il ne doit pas en exister pléthore, mais Rochant relève le défi, et ne déçoit pas.
Le suspense nous tient tout au long du film, grâce à la grande qualité du scénario. L’intrigue est excellente, l’histoire pleine de rebondissements, assez compliquée parfois à suivre, le dénouement est imprévisible. A l’instar du ruban de Möbius, chaque protagoniste se retrouve dans une situation inattendue, où il dépend inexorablement de quelqu’un d’autre… Brillante idée que ce titre allégorique dont on perçoit l’esprit tout au long du film.
Jean Dujardin et Cécile de France tiennent parfaitement leurs rôles – avec un petit bémol cependant pour Dujardin : à force de vouloir trop s’investir dans son rôle sérieux, il manquerait presque de naturel.
Que demander de plus ?
La romance ? Elle y figure aussi. La grande histoire d’amour qui est comme un fil rouge derrière ces histoires d’espionnage et d’intérêt, mérite évidemment qu’on s’y attarde. La façon dont le réalisateur a de filmer nous en dit d’ailleurs long sur son but : axer son film autour de cette relation amoureuse, et faire transpirer à l’écran la jouissance des amants.
Mais qui cache quoi à qui ? Le double jeu des protagonistes, leurs mensonges, leur trahison mèneront irrémédiablement à leur perte : la réalité, la vérité finit par les rattraper, et anéantit en l’espace de quelques instants leur bonheur.
Mais la morale de l’histoire ne réside pas en un banal « les méchants menteurs sont punis ». Non, la fin du film nous pousse plutôt à conclure que l’amour sincère triomphe toujours de tout… C’est sûrement bien vrai, était-il besoin pour autant de se complaire dans les scènes érotiques ?
Un film d’espionnage français réussi ? Il ne doit pas en exister pléthore, mais Rochant relève le défi, et ne déçoit pas.
Le suspense nous tient tout au long du film, grâce à la grande qualité du scénario. L’intrigue est excellente, l’histoire pleine de rebondissements, assez compliquée parfois à suivre, le dénouement est imprévisible. A l’instar du ruban de Möbius, chaque protagoniste se retrouve dans une situation inattendue, où il dépend inexorablement de quelqu’un d’autre… Brillante idée que ce titre allégorique dont on perçoit l’esprit tout au long du film.
Jean Dujardin et Cécile de France tiennent parfaitement leurs rôles – avec un petit bémol cependant pour Dujardin : à force de vouloir trop s’investir dans son rôle sérieux, il manquerait presque de naturel.
Que demander de plus ?
La romance ? Elle y figure aussi. La grande histoire d’amour qui est comme un fil rouge derrière ces histoires d’espionnage et d’intérêt, mérite évidemment qu’on s’y attarde. La façon dont le réalisateur a de filmer nous en dit d’ailleurs long sur son but : axer son film autour de cette relation amoureuse, et faire transpirer à l’écran la jouissance des amants.
Mais qui cache quoi à qui ? Le double jeu des protagonistes, leurs mensonges, leur trahison mèneront irrémédiablement à leur perte : la réalité, la vérité finit par les rattraper, et anéantit en l’espace de quelques instants leur bonheur.
Mais la morale de l’histoire ne réside pas en un banal « les méchants menteurs sont punis ». Non, la fin du film nous pousse plutôt à conclure que l’amour sincère triomphe toujours de tout… C’est sûrement bien vrai, était-il besoin pour autant de se complaire dans les scènes érotiques ?