Le strip-tease, Channing Tatum le connaît bien, puisqu'avant sa carrière de super mâle hollywoodien, il faisait
hurler la femelle dans les salles d'effeuillage. Il est d'ailleurs à l'origine de ce film, en partenariat évidemment avec Steven Soderbergh, également réalisateur en 2011 de Contagion et Piégée.
Il y a, une nouvelle fois et c'est gonflant, une distance énorme entre le message du film et la façon dont les distributeurs et exploitants l'ont vendu. Mega CGR organise des soirées pour fille autour du film, Chérie FM parle d'une « ode au strip-tease masculin... » N'importe quoi !
Le message assumé par la production est bel et bien de dénoncer le mode de vie de ces hommes hypnotisés par l'argent facile et le sexe, et incapables, comme c'est le cas pour Mike, de vivre une relation normale (oui j'ai bien dit « normale » et tant pis pour les ayatollahs
du libéralisme moral !).
Mike doit dans le film renoncer à son mode vie pour pouvoir accéder à une jeune fille aussi marrante qu'une préposée aux impôts, mais sérieuse, raisonnable et tout et tout (et qui se trouve, au passage, être interprétée par la fille du PDG de Warner Bros., rien que ça !).
En revanche, il faut le dire, le souligner et le surligner, il est exact que le film prend plaisir à montrer les shows, les coucheries et autres friandises trouant les dents morales comme le sucre devient acide.
Le mode d'expression est donc plus que conventionnel : il faut vendre à tout prix et au prix du croustillant. De la fesse, du rêve, des belles voitures (quoique de ce point de vue : peut mieux faire !) et de l'humour graveleux.
Vous je sais pas, mais moi, pour ça, j'ai les couloirs du métro. Et en plus c'est gratuit !
Le strip-tease, Channing Tatum le connaît bien, puisqu'avant sa carrière de super mâle hollywoodien, il faisait hurler la femelle dans les salles d'effeuillage. Il est d'ailleurs à l'origine de ce film, en partenariat évidemment avec Steven Soderbergh, également réalisateur en 2011 de Contagion et Piégée.
Il y a, une nouvelle fois et c'est gonflant, une distance énorme entre le message du film et la façon dont les distributeurs et exploitants l'ont vendu. Mega CGR organise des soirées pour fille autour du film, Chérie FM parle d'une « ode au strip-tease masculin... » N'importe quoi !
Le message assumé par la production est bel et bien de dénoncer le mode de vie de ces hommes hypnotisés par l'argent facile et le sexe, et incapables, comme c'est le cas pour Mike, de vivre une relation normale (oui j'ai bien dit « normale » et tant pis pour les ayatollahs du libéralisme moral !).
Mike doit dans le film renoncer à son mode vie pour pouvoir accéder à une jeune fille aussi marrante qu'une préposée aux impôts, mais sérieuse, raisonnable et tout et tout (et qui se trouve, au passage, être interprétée par la fille du PDG de Warner Bros., rien que ça !).
En revanche, il faut le dire, le souligner et le surligner, il est exact que le film prend plaisir à montrer les shows, les coucheries et autres friandises trouant les dents morales comme le sucre devient acide.
Le mode d'expression est donc plus que conventionnel : il faut vendre à tout prix et au prix du croustillant. De la fesse, du rêve, des belles voitures (quoique de ce point de vue : peut mieux faire !) et de l'humour graveleux.
Vous je sais pas, mais moi, pour ça, j'ai les couloirs du métro. Et en plus c'est gratuit !