Mission : Noël – Les aventures de la famille Noël repose sur une simple question : comment le Père Noël peut-il livrer deux milliards de cadeaux à travers le monde en une seule nuit ? Cette question vieille comme le monde trouve ici une réponse originale : pas de magie ou de mystère qui contournent les obstacles, le secret est dans une technologie de pointe et une organisation au millième de seconde près. Le Père Noël est le chef d’une armée gigantesque qui ne s’arrête pas aux petites étoiles et guirlandes scintillantes, le mot d’ordre est l’efficacité. Une réponse originale qui donne lieu à une création cocasse d’un Noël tel qu’on ne se l’imaginait pas. Les scé naristes se sont fixés de donner corps au rêve et de l’expliquer rationnellement : « L’idée que les lutins auraient 18 secondes 14 centièmes pour passer d’une maison à l’autre est aussi basée sur un vrai calcul de notre composition. » (Peter Baynham, scénariste et coproducteur exécutif, in dossier de presse). Et Alan Short, superviseur senior de l’animation, ajoute : « Quand l’heure apparaît à l’écran, c’est toujours un vrai repère. Tout est cohérent au niveau chronologique. » La mission est de taille et les lutins rivalisent de gadgets qui plongent le film dans un univers de science fiction atypique : le traîneau du Père Noël est un immense vaisseau aux dimensions d’une ville, les lutins sont équipés d’aspirateurs d’aliments pour grignoter les biscuits laiss& eacute;s par les enfants, et de remplisseurs de chaussettes automatiques… une démystification qui n’est pas dénuée d’humour et d’ingéniosité.
Cet univers de haute technologie est aussi un défi pour la réalisation, le concours du studio Aardman et de Sony Pictures Animation apparaît efficace : les décors et les personnages sont travaillés et convaincants, les millions de lutins descendant du ciel laisseraient bouche bée les enfants qui les surprendraient.
Mais ce Noël revisité a une contre-partie, qu’en est-il de la magie et de l’esprit de Noël ? La question se pose à tous les membres de la famille Noël quand le système a soudainement failli : une petite fille n’a pas reçu son cadeau. Arthur, le jeune fils du Père Noël qui incarne l’âme de Noël, en est bouleversé et est prêt à tout pour rétablir la situation. Pour son frère aîné Steve, superviseur de ce nouvel âge technologique, la faille dans le système est proportionnellement insignifiante et ne remet pas en question le génie de l’opération. C’est donc Arthur qui prend en main la suite de la nuit et part avec son grand-père sur son bon vieux traîneau et ses huit rennes. Arthur, relégué au service courrier à cause de sa maladresse dans tous les autres secteurs, se montrera finalement le héros de la situation et finira par refaire découvrir aux autres la magie de Noël.
Les personnages sont réalistes et émouvants, et l’histoire de Noël est aussi une histoire de famille. Arthur réalise avec douleur que son père n’est pas l’homme parfait qu’il croyait et le Père Noël réalise qu’il n’a pas pris le temps de regarder les enfants et ses enfants en particulier. Steve lui-même se découvre un cœur à la fin, devant la joie de la petite fille devant son cadeau. La réalisatrice Sarah Smith déclare : « Une grande part de la réussite du film reposait sur la qualité et la justesse de la représentation des personnages humains. » Et pour cela la réalisation des images de synthèse joue un grand rôle, les visages sont expressifs et convaincants. Le conflit du monde de la magie et du monde de la technologie construit l’histoire : le Grand-Père Noël symbolise la tradition, il est attaché à la vieille méthode, peut-être moins efficace et plus dangereuse mais plus chaleureuse. Seulement lui aussi reste fermé à l’esprit de Noël, même s’il en défend l’apparence, il ne se préoccupe pas plus que Steve de la petite fille et renonce dès que le décorum n’y est plus. Le conflit des méthodes occulte pour les personnages le vrai esprit de Noël qui se révèle être à la fin celui d’Arthur : peu importe comment sont livrés les cadeaux, ce qui compte c’est la joie des enfants au réveil. Peter Baynham le confirme : « Nous avions commencé en nous demandant : Mais comment le Père Noël va-t-il faire ceci ou cela ? À mesure que nous écrivions, la question n’était plus comment, mais pourquoi. »
Une plongée dans l’esprit de Noël bienvenue à cette période de l’année, relevée par un humour inventif, en fait un film chaleureux et divertissant.
un film chaleureux et divertissant qui revisite avec ingéniosité le mystère du Père Noël et allie inventivité et traditionnel esprit de Noël.
Mission : Noël – Les aventures de la famille Noël repose sur une simple question : comment le Père Noël peut-il livrer deux milliards de cadeaux à travers le monde en une seule nuit ? Cette question vieille comme le monde trouve ici une réponse originale : pas de magie ou de mystère qui contournent les obstacles, le secret est dans une technologie de pointe et une organisation au millième de seconde près. Le Père Noël est le chef d’une armée gigantesque qui ne s’arrête pas aux petites étoiles et guirlandes scintillantes, le mot d’ordre est l’efficacité. Une réponse originale qui donne lieu à une création cocasse d’un Noël tel qu’on ne se l’imaginait pas. Les scé naristes se sont fixés de donner corps au rêve et de l’expliquer rationnellement : « L’idée que les lutins auraient 18 secondes 14 centièmes pour passer d’une maison à l’autre est aussi basée sur un vrai calcul de notre composition. » (Peter Baynham, scénariste et coproducteur exécutif, in dossier de presse). Et Alan Short, superviseur senior de l’animation, ajoute : « Quand l’heure apparaît à l’écran, c’est toujours un vrai repère. Tout est cohérent au niveau chronologique. » La mission est de taille et les lutins rivalisent de gadgets qui plongent le film dans un univers de science fiction atypique : le traîneau du Père Noël est un immense vaisseau aux dimensions d’une ville, les lutins sont équipés d’aspirateurs d’aliments pour grignoter les biscuits laiss& eacute;s par les enfants, et de remplisseurs de chaussettes automatiques… une démystification qui n’est pas dénuée d’humour et d’ingéniosité.
Cet univers de haute technologie est aussi un défi pour la réalisation, le concours du studio Aardman et de Sony Pictures Animation apparaît efficace : les décors et les personnages sont travaillés et convaincants, les millions de lutins descendant du ciel laisseraient bouche bée les enfants qui les surprendraient.
Mais ce Noël revisité a une contre-partie, qu’en est-il de la magie et de l’esprit de Noël ? La question se pose à tous les membres de la famille Noël quand le système a soudainement failli : une petite fille n’a pas reçu son cadeau. Arthur, le jeune fils du Père Noël qui incarne l’âme de Noël, en est bouleversé et est prêt à tout pour rétablir la situation. Pour son frère aîné Steve, superviseur de ce nouvel âge technologique, la faille dans le système est proportionnellement insignifiante et ne remet pas en question le génie de l’opération. C’est donc Arthur qui prend en main la suite de la nuit et part avec son grand-père sur son bon vieux traîneau et ses huit rennes. Arthur, relégué au service courrier à cause de sa maladresse dans tous les autres secteurs, se montrera finalement le héros de la situation et finira par refaire découvrir aux autres la magie de Noël.
Les personnages sont réalistes et émouvants, et l’histoire de Noël est aussi une histoire de famille. Arthur réalise avec douleur que son père n’est pas l’homme parfait qu’il croyait et le Père Noël réalise qu’il n’a pas pris le temps de regarder les enfants et ses enfants en particulier. Steve lui-même se découvre un cœur à la fin, devant la joie de la petite fille devant son cadeau. La réalisatrice Sarah Smith déclare : « Une grande part de la réussite du film reposait sur la qualité et la justesse de la représentation des personnages humains. » Et pour cela la réalisation des images de synthèse joue un grand rôle, les visages sont expressifs et convaincants. Le conflit du monde de la magie et du monde de la technologie construit l’histoire : le Grand-Père Noël symbolise la tradition, il est attaché à la vieille méthode, peut-être moins efficace et plus dangereuse mais plus chaleureuse. Seulement lui aussi reste fermé à l’esprit de Noël, même s’il en défend l’apparence, il ne se préoccupe pas plus que Steve de la petite fille et renonce dès que le décorum n’y est plus. Le conflit des méthodes occulte pour les personnages le vrai esprit de Noël qui se révèle être à la fin celui d’Arthur : peu importe comment sont livrés les cadeaux, ce qui compte c’est la joie des enfants au réveil. Peter Baynham le confirme : « Nous avions commencé en nous demandant : Mais comment le Père Noël va-t-il faire ceci ou cela ? À mesure que nous écrivions, la question n’était plus comment, mais pourquoi. »
Une plongée dans l’esprit de Noël bienvenue à cette période de l’année, relevée par un humour inventif, en fait un film chaleureux et divertissant.