Le nouveau Woody Allen est arrivé ! C’est désormais une tradition dûment établie, l’acteur-réalisateur new-yorkais sort un nouveau film chaque année, pouvant créer l’évènement sur son seul nom. Et il poursuit sur sa tournée des villes européennes, après Barcelone (Vicky
Cristina Barcelona, 2008), Paris (Midnight in Paris, 2011), voici Rome ! Emerveillement architectural et invitation à la romance, la capitale italienne ne pouvait manquer d’inspirer le réalisateur de La Rose pourpre du Caire et est d’ailleurs parfaitement mise à l’honneur. Le Colisée, le Parthénon, la fontaine des Quatre-Fleuves et bien d’autres encore sont largement mis en valeur par la caméra tandis que le scénario s’inspire ouvertement du Décaméron de Boccace.
Pour le reste, c’est du Woody Allen classique, très proche de Midnight in Paris, une succession de chassés-croisés amoureux, parfois drôles, parfois émouvants, parfois douteux aussi (il faut notamment supporter une double histoire d’adultère et quelques
allusions sexuelles peu saines), mais globalement assez rythmés et entraînants pour ne pas être ennuyeux.
En somme, un bon petit divertissement romantique efficace, même si la morale n’est pas toujours bien défendue ou est ambiguë. La perpétuation du couple est finalement défendue mais au prix d’une forte complaisance vis-à-vis de l’adultère et du libertinage.
A noter que Allen retrouve certains de ses anciens complices comme Judy Davis (Harry dans tous ses états, 1998), Alec Baldwin (Alice, 1991) et Penélope Cruz (Vicky Cristina Barcelona, 2008), et que le cinéaste lui-même redevient acteur dans un de ses films pour la première fois depuis Scoop, 2006.
Le nouveau Woody Allen est arrivé ! C’est désormais une tradition dûment établie, l’acteur-réalisateur new-yorkais sort un nouveau film chaque année, pouvant créer l’évènement sur son seul nom. Et il poursuit sur sa tournée des villes européennes, après Barcelone (Vicky Cristina Barcelona, 2008), Paris (Midnight in Paris, 2011), voici Rome ! Emerveillement architectural et invitation à la romance, la capitale italienne ne pouvait manquer d’inspirer le réalisateur de La Rose pourpre du Caire et est d’ailleurs parfaitement mise à l’honneur. Le Colisée, le Parthénon, la fontaine des Quatre-Fleuves et bien d’autres encore sont largement mis en valeur par la caméra tandis que le scénario s’inspire ouvertement du Décaméron de Boccace.
Pour le reste, c’est du Woody Allen classique, très proche de Midnight in Paris, une succession de chassés-croisés amoureux, parfois drôles, parfois émouvants, parfois douteux aussi (il faut notamment supporter une double histoire d’adultère et quelques allusions sexuelles peu saines), mais globalement assez rythmés et entraînants pour ne pas être ennuyeux.
En somme, un bon petit divertissement romantique efficace, même si la morale n’est pas toujours bien défendue ou est ambiguë. La perpétuation du couple est finalement défendue mais au prix d’une forte complaisance vis-à-vis de l’adultère et du libertinage.
A noter que Allen retrouve certains de ses anciens complices comme Judy Davis (Harry dans tous ses états, 1998), Alec Baldwin (Alice, 1991) et Penélope Cruz (Vicky Cristina Barcelona, 2008), et que le cinéaste lui-même redevient acteur dans un de ses films pour la première fois depuis Scoop, 2006.