Imaginez... Imaginez que votre enfant est prêt de vous. Vous vous retournez pour accrocher du linge, et quelques secondes suffisent pour qu'il disparaisse à jamais.
Imaginez... Imaginez que cela vous soit arrivé, à vous, mais aussi à beaucoup de vos voisins, dans un petit village perdu au milieu des bois.
La psychose monte, tout le monde soupçonne tout le monde et finit par donner un nom à ce kidnappeur
terrifiant, pédophile, sataniste ou autre chose, on n'en sait rien : le « tall man. »
Ouah ! Ça fait trop peur... D'autant que le scénario est bien ficelé et rebondissant, qu'il y a de la brume dans les bois sombres, et que ça touche à des enfants ! Bref... glaçant.
Pascal Laugier, un bon français bien de chez nous alors que le film est américano-canadien, s'est donc fait plaisir sur un script qu'il a longtemps travaillé et qui ne le satisfaisait jamais... jusqu'à aujourd'hui.
Ce qu'il aurait pu éviter, c'est le gros message sociétal tout pourri qui vient dénouer le mystère. Je ne vais
pas vous en dire plus parce que je ne suis pas un gros chacal qui déflore les intrigues, mais il aurait pu mieux faire.
A part ça le cadre est celui, classique, de l'Amérique profonde, avec son bar crado, son vieux shérif et ses bouseux en 4x4. A croire que rien n'est bon à part Washington et New York où les gens sont, c'est bien connu, extrêmement civilisés.
Certainement pas un film d'horreur, comme on peut le lire dans certaines critiques, puisque très peu de scènes horribles sont montrées, mais un excellent thriller qui ne manquera pas d'activer votre phase digestive.
Le genre de petite chose à tenter après un Maxi Best of Big Mac avec
frites et Coca et Mc Flurry M&M's nappage caramel*.
*Traduction : Entrecôte d'agneau sur lit de fenouil avec une pointe de sel et ses pommes de terre du jardin à la crème, suivi d'un sorbet à la vanille de gousse nappé d'une fine couche de caramel relevée aux épices.
Imaginez... Imaginez que votre enfant est prêt de vous. Vous vous retournez pour accrocher du linge, et quelques secondes suffisent pour qu'il disparaisse à jamais.
Imaginez... Imaginez que cela vous soit arrivé, à vous, mais aussi à beaucoup de vos voisins, dans un petit village perdu au milieu des bois.
La psychose monte, tout le monde soupçonne tout le monde et finit par donner un nom à ce kidnappeur terrifiant, pédophile, sataniste ou autre chose, on n'en sait rien : le « tall man. »
Ouah ! Ça fait trop peur... D'autant que le scénario est bien ficelé et rebondissant, qu'il y a de la brume dans les bois sombres, et que ça touche à des enfants ! Bref... glaçant.
Pascal Laugier, un bon français bien de chez nous alors que le film est américano-canadien, s'est donc fait plaisir sur un script qu'il a longtemps travaillé et qui ne le satisfaisait jamais... jusqu'à aujourd'hui.
Ce qu'il aurait pu éviter, c'est le gros message sociétal tout pourri qui vient dénouer le mystère. Je ne vais pas vous en dire plus parce que je ne suis pas un gros chacal qui déflore les intrigues, mais il aurait pu mieux faire.
A part ça le cadre est celui, classique, de l'Amérique profonde, avec son bar crado, son vieux shérif et ses bouseux en 4x4. A croire que rien n'est bon à part Washington et New York où les gens sont, c'est bien connu, extrêmement civilisés.
Certainement pas un film d'horreur, comme on peut le lire dans certaines critiques, puisque très peu de scènes horribles sont montrées, mais un excellent thriller qui ne manquera pas d'activer votre phase digestive.
Le genre de petite chose à tenter après un Maxi Best of Big Mac avec frites et Coca et Mc Flurry M&M's nappage caramel*.
*Traduction : Entrecôte d'agneau sur lit de fenouil avec une pointe de sel et ses pommes de terre du jardin à la crème, suivi d'un sorbet à la vanille de gousse nappé d'une fine couche de caramel relevée aux épices.