Voilà un deuxième opus qui, à la différence du premier confrontant la street dance à la danse classique, intègre cette fois la danse latino, pour le plus grand plaisir des amateurs de « battle », ces affrontements chorégraphiques aux règles parfois obscures.
Les problématiques traitées par le premier opus sont toujours là (cf. Street dance), exceptée bien sûr la confrontation avec la danse classique. Cette discipline en est réellement une, qui demande travail, patience et confiance en soi.
Mais ce deuxième épisode pose une question supplémentaire : cette fois la danse latino va introduire la nécessité de suivre et diriger un
partenaire. N'y allons pas par quatre chemins : la question est mal traitée. D'abord elle est présentée comme une nouveauté alors que la danse classique la posait déjà, et ensuite les danseurs de rue ne pourraient pas faire de chorégraphie sans déjà considérer leur partenaire. La nouveauté est donc, disons-le, bidon.
La petite romance entre les deux danseurs est quant à elle abordée de façon très, mais alors très classique. Monsieur rencontre mademoiselle, d'abord distante puis séduite et, une fois que le couple s'est formé, monsieur commet une bévue qui les éloigne, ce qu'ils regrettent et ce qui les ressoude. Oulala c'est beau...
A noter la présence cette fois d'un aîné, en la personne de l'oncle de
la jeune fille, qui réconcilie les générations en montrant combien on peut être « latino » même avec un gros ventre. C'est chou.
Bref on aura compris que l'intérêt du film n'est pas dans le scénario, très banal, mais dans les démonstrations effrénées de chorégraphies d'autant plus endiablées que les tenues sont sexy.
Mais je suis sûr que ça, vous vous en doutiez.
Voilà un deuxième opus qui, à la différence du premier confrontant la street dance à la danse classique, intègre cette fois la danse latino, pour le plus grand plaisir des amateurs de « battle », ces affrontements chorégraphiques aux règles parfois obscures.
Les problématiques traitées par le premier opus sont toujours là (cf. Street dance), exceptée bien sûr la confrontation avec la danse classique. Cette discipline en est réellement une, qui demande travail, patience et confiance en soi.
Mais ce deuxième épisode pose une question supplémentaire : cette fois la danse latino va introduire la nécessité de suivre et diriger un partenaire. N'y allons pas par quatre chemins : la question est mal traitée. D'abord elle est présentée comme une nouveauté alors que la danse classique la posait déjà, et ensuite les danseurs de rue ne pourraient pas faire de chorégraphie sans déjà considérer leur partenaire. La nouveauté est donc, disons-le, bidon.
La petite romance entre les deux danseurs est quant à elle abordée de façon très, mais alors très classique. Monsieur rencontre mademoiselle, d'abord distante puis séduite et, une fois que le couple s'est formé, monsieur commet une bévue qui les éloigne, ce qu'ils regrettent et ce qui les ressoude. Oulala c'est beau...
A noter la présence cette fois d'un aîné, en la personne de l'oncle de la jeune fille, qui réconcilie les générations en montrant combien on peut être « latino » même avec un gros ventre. C'est chou.
Bref on aura compris que l'intérêt du film n'est pas dans le scénario, très banal, mais dans les démonstrations effrénées de chorégraphies d'autant plus endiablées que les tenues sont sexy.
Mais je suis sûr que ça, vous vous en doutiez.