Alain Chabat sait faire des films. Si si, je vous assure ! Même si vous n’avez peut-être pas ri à Astérix et Cléopâtre, sorti en 2001 des usines TF1 et Path&
eacute;, vous devez admettre que celui-ci était très élaboré. Le casting a probablement joué dans son succès, certes, mais c’est ce qu’on pouvait appeler un film.
Quoi donc de plus normal que le bonhomme récidive ? Le casting est moins touffu, mais le budget, c’est certain, s’est tourné vers d’autres priorités. Parmi elles les images de synthèse, comme celles du Marsupilami, sont extrêmement réussies. Le réalisateur a décidé de relever un défi, celui d’égaler les super productions américaines afin de montrer que nous autres, Français, sommes toujours de la partie. Même si l’humour décalé n’a plus le souffle d’une nouveauté, le tout reste assez pétillant et les amateurs du genre ne seront pas déçus. A signaler une scène déjant&
eacute;e, gênante pour les uns, désopilante pour les autres, dans laquelle Lambert Wilson interprète une chanson de Céline Dion en robe à paillettes.
En revanche on ne peut oublier que ce film séduira les enfants. Ceux-ci assisteront donc à un chiwawa plantant son sexe vigoureux dans l’oreille d’un Djamel Debbouze impuissant, ou à la fièvre montante d’une étreinte entre Fred Testot et Géraldine Nakache. Était-ce bien nécessaire ?
Alain Chabat sait faire des films. Si si, je vous assure ! Même si vous n’avez peut-être pas ri à Astérix et Cléopâtre, sorti en 2001 des usines TF1 et Path& eacute;, vous devez admettre que celui-ci était très élaboré. Le casting a probablement joué dans son succès, certes, mais c’est ce qu’on pouvait appeler un film.
Quoi donc de plus normal que le bonhomme récidive ? Le casting est moins touffu, mais le budget, c’est certain, s’est tourné vers d’autres priorités. Parmi elles les images de synthèse, comme celles du Marsupilami, sont extrêmement réussies. Le réalisateur a décidé de relever un défi, celui d’égaler les super productions américaines afin de montrer que nous autres, Français, sommes toujours de la partie. Même si l’humour décalé n’a plus le souffle d’une nouveauté, le tout reste assez pétillant et les amateurs du genre ne seront pas déçus. A signaler une scène déjant& eacute;e, gênante pour les uns, désopilante pour les autres, dans laquelle Lambert Wilson interprète une chanson de Céline Dion en robe à paillettes.
En revanche on ne peut oublier que ce film séduira les enfants. Ceux-ci assisteront donc à un chiwawa plantant son sexe vigoureux dans l’oreille d’un Djamel Debbouze impuissant, ou à la fièvre montante d’une étreinte entre Fred Testot et Géraldine Nakache. Était-ce bien nécessaire ?