Ce film est clairement à vocation pédagogique. Tout en découle. Un très grand réalisme, des graphismes extrêmement soignés, une fluidité remarquable, des arrêts sur image affichant les noms scientifiques et vulgaires du dinosaure apparaissant sur l'écran.
Évidemment, ce genre d'entreprise dépend de « l'état de l'art. » Les recherches paléontologiques réservent en permanence de nouvelles découvertes qui remettent en cause l'état des connaissances.
Mais on allait pas attendre de tout savoir avant d'en faire un film ! En l'occurrence vous savez peut-être qu'il vient d'y avoir un débat aussi passionnant que passionné sur le fait que les dinosaures seraient en fait des proches parents des oiseaux (façon de se déplacer, comportement, etc.). Le film est né dans ce contexte et opte résolument pour l'option de cette parenté, aujourd'hui majoritairement admise.
Celui-ci se concentre donc sur la période du crétacé supérieur campanien (pour ceux qui s'intéressent à la chose). Donc exit les Tyrannosaurus, qui s'agitaient dans l'ère du crétacé supérieur maastrichien, mais bonjour aux Gorgozaurus, leurs grands frères, qui font tout aussi peur (bien qu'étant un peu plus petits).
Quelques scènes impressionneront les plus petits, mais aucune n'est vraiment traumatisante. Le fond de l'histoire met plutôt le courage à l'honneur, dans un contexte de survie angoissant (c'est peut-être ce qui marquera nos chers petits). L'histoire est en effet aussi anxiogène que celle d'un steak au pays des bouches. Le « petit » (c'est quand même un pachyrhinosaure !) Patchi va découvrir la vie, avec ses amours, ses emmerdes, et ses rares plaisirs (en gros manger et dormir, ce qui n'est déjà pas si mal).
Un film très intéressant donc, et particulièrement bien fait, pour ceux qui s'intéressent à la chose ou qui souhaiteraient y intéresser leurs enfants.
Ce film est clairement à vocation pédagogique. Tout en découle. Un très grand réalisme, des graphismes extrêmement soignés, une fluidité remarquable, des arrêts sur image affichant les noms scientifiques et vulgaires du dinosaure apparaissant sur l'écran.
Évidemment, ce genre d'entreprise dépend de « l'état de l'art. » Les recherches paléontologiques réservent en permanence de nouvelles découvertes qui remettent en cause l'état des connaissances.
Mais on allait pas attendre de tout savoir avant d'en faire un film ! En l'occurrence vous savez peut-être qu'il vient d'y avoir un débat aussi passionnant que passionné sur le fait que les dinosaures seraient en fait des proches parents des oiseaux (façon de se déplacer, comportement, etc.). Le film est né dans ce contexte et opte résolument pour l'option de cette parenté, aujourd'hui majoritairement admise.
Celui-ci se concentre donc sur la période du crétacé supérieur campanien (pour ceux qui s'intéressent à la chose). Donc exit les Tyrannosaurus, qui s'agitaient dans l'ère du crétacé supérieur maastrichien, mais bonjour aux Gorgozaurus, leurs grands frères, qui font tout aussi peur (bien qu'étant un peu plus petits).
Quelques scènes impressionneront les plus petits, mais aucune n'est vraiment traumatisante. Le fond de l'histoire met plutôt le courage à l'honneur, dans un contexte de survie angoissant (c'est peut-être ce qui marquera nos chers petits). L'histoire est en effet aussi anxiogène que celle d'un steak au pays des bouches. Le « petit » (c'est quand même un pachyrhinosaure !) Patchi va découvrir la vie, avec ses amours, ses emmerdes, et ses rares plaisirs (en gros manger et dormir, ce qui n'est déjà pas si mal).
Un film très intéressant donc, et particulièrement bien fait, pour ceux qui s'intéressent à la chose ou qui souhaiteraient y intéresser leurs enfants.