Le rêve de toute femme... Être l'enjeu entre deux hommes déterminés,
beaux, forts et intelligents. Moi ? Macho ? Prenez-vous en donc à Hollywood, car c'est bien plutôt l'objet de ce dernier film de Joseph McGinty Nichol, qui avait déjà commis en 2003, entre deux séries télévisées (son habituel terrain de jeu), Charlie's Angels : les anges se déchaînent, dont le centre d'intérêt se résumait en gros à montrer de jolies filles dans toutes les positions.
D'ailleurs, tout dépend de quel point de vue on se place, parce que deux amis qui se battent pour une fille qui les fait tourner en bourrique, voilà qui n'est pas franchement glamour pour nous autres, les hommes. La réflexion sur l'amitié entre les deux compères confine d'ailleurs à l'encéphalogramme plat, mais on comprend bien que ce thème n'est qu'un prétexte.
Je sens que rien qu'à lire les premières phrases de
cet article, vous avez compris que le film est aussi creux que le crâne d'un journaliste people. Mademoiselle (j'aime employer ce mot désormais interdit !) joue donc les princesses irrésistibles, et soupèse les hommes comme des produits de consommation, probablement pour montrer aux spectateurs virils à quel point ils sont vilains de faire la même chose de leur côté.
Évidemment on trouve un certain amusement à voir deux agents secrets tout donner pour s'évincer, et on rigole parfois, mais à condition de s'être déconnecté le cerveau : il est inimaginable que ces deux zozos mobilisent chacun une équipe d'experts au frais du contribuable pour mener leur petite guéguerre ridicule, comme il est inimaginable que la jeune femme entende construire sa vie avec un type qu'elle ne connaît pas, puisqu'il lui a menti depuis le début.
Voilà, tout est
dit... C'est dire si l'intérêt du film est grandiose !
Le rêve de toute femme... Être l'enjeu entre deux hommes déterminés, beaux, forts et intelligents. Moi ? Macho ? Prenez-vous en donc à Hollywood, car c'est bien plutôt l'objet de ce dernier film de Joseph McGinty Nichol, qui avait déjà commis en 2003, entre deux séries télévisées (son habituel terrain de jeu), Charlie's Angels : les anges se déchaînent, dont le centre d'intérêt se résumait en gros à montrer de jolies filles dans toutes les positions.
D'ailleurs, tout dépend de quel point de vue on se place, parce que deux amis qui se battent pour une fille qui les fait tourner en bourrique, voilà qui n'est pas franchement glamour pour nous autres, les hommes. La réflexion sur l'amitié entre les deux compères confine d'ailleurs à l'encéphalogramme plat, mais on comprend bien que ce thème n'est qu'un prétexte.
Je sens que rien qu'à lire les premières phrases de cet article, vous avez compris que le film est aussi creux que le crâne d'un journaliste people. Mademoiselle (j'aime employer ce mot désormais interdit !) joue donc les princesses irrésistibles, et soupèse les hommes comme des produits de consommation, probablement pour montrer aux spectateurs virils à quel point ils sont vilains de faire la même chose de leur côté.
Évidemment on trouve un certain amusement à voir deux agents secrets tout donner pour s'évincer, et on rigole parfois, mais à condition de s'être déconnecté le cerveau : il est inimaginable que ces deux zozos mobilisent chacun une équipe d'experts au frais du contribuable pour mener leur petite guéguerre ridicule, comme il est inimaginable que la jeune femme entende construire sa vie avec un type qu'elle ne connaît pas, puisqu'il lui a menti depuis le début.
Voilà, tout est dit... C'est dire si l'intérêt du film est grandiose !