Depuis sa première sortie en 1997, Titanic n’a pas bougé... Faut-il voir dans la phrase précédente un point positif ou négatif ? Les deux, mon général !
Le film n’a effectivement pas pris une ride. Il est toujours aussi impressionnant, renvoie toujours autant au traumatisme qui étreint les touristes en croisière, et ceux qui les ont laissés aller d’un salut sur le quai. Léonardo Di Caprio arbore toujours sa gueule de beau gamin au nez des spectatrices et Kate Winslet capte le regard de ses yeux rêveurs et de sa moue effrontée. Le bateau de cinéma abrite en outre la sempiternelle ritournelle de lutte des classes, où les méchants bourgeois répondent avec mépris à la bonne humeur des « seconde classe. »
Mais précisément la caricature a vieilli et la 3D émoussée ne la rachètera pas. Cette nouvelle sortie sent le commercial à plein nez. On ne vibre pas plus qu’auparavant, pas moins non plus, et James Cameron a sans aucun doute fait le pari de surfer sur deux succès : celui de l’oeuvre précédente, bien sûr, et celui peut-être plus présent encore à l’esprit des cinéphiles du succès technologique d’Avatar, éclos en 2009 entre les doigts du même réalisateur. Celui-ci avait fait jaillir pour la circonstance une 3D ciselée, forg& eacute;e par la technologie la plus en pointe puisque créée exprès pour le film. Le cinéaste parie donc probablement sur l’engouement d’un public qui sera certainement déçu au bout du compte, d’autant que l’actrice dénonce aujourd’hui à qui veut l’entendre la prise de poids de son ancien partenaire et la chanson de Céline Dion qui lui « donne la nausée. »
Et puis cette vieille qui jette un énorme saphir dans la mer pour satisfaire ses pulsions romantiques moi, que voulez-vous, ça me rend malade !
Depuis sa première sortie en 1997, Titanic n’a pas bougé... Faut-il voir dans la phrase précédente un point positif ou négatif ? Les deux, mon général !
Le film n’a effectivement pas pris une ride. Il est toujours aussi impressionnant, renvoie toujours autant au traumatisme qui étreint les touristes en croisière, et ceux qui les ont laissés aller d’un salut sur le quai. Léonardo Di Caprio arbore toujours sa gueule de beau gamin au nez des spectatrices et Kate Winslet capte le regard de ses yeux rêveurs et de sa moue effrontée. Le bateau de cinéma abrite en outre la sempiternelle ritournelle de lutte des classes, où les méchants bourgeois répondent avec mépris à la bonne humeur des « seconde classe. »
Mais précisément la caricature a vieilli et la 3D émoussée ne la rachètera pas. Cette nouvelle sortie sent le commercial à plein nez. On ne vibre pas plus qu’auparavant, pas moins non plus, et James Cameron a sans aucun doute fait le pari de surfer sur deux succès : celui de l’oeuvre précédente, bien sûr, et celui peut-être plus présent encore à l’esprit des cinéphiles du succès technologique d’Avatar, éclos en 2009 entre les doigts du même réalisateur. Celui-ci avait fait jaillir pour la circonstance une 3D ciselée, forg& eacute;e par la technologie la plus en pointe puisque créée exprès pour le film. Le cinéaste parie donc probablement sur l’engouement d’un public qui sera certainement déçu au bout du compte, d’autant que l’actrice dénonce aujourd’hui à qui veut l’entendre la prise de poids de son ancien partenaire et la chanson de Céline Dion qui lui « donne la nausée. »
Et puis cette vieille qui jette un énorme saphir dans la mer pour satisfaire ses pulsions romantiques moi, que voulez-vous, ça me rend malade !