Toutes les familles, parents et enfants, apprécieront cette ultime interprétation cinématographique du roman éponyme de la suissesse Johanna Spyri édité en 1880 ! L’histoire de la petite orpheline Heidi venant attendrir le cœur de son grand-père tout là-haut dans la montagne, est toujours aussi efficace, de génération en génération. Ce dixième film sur Heidi (!), réalisé par le suisse Alain Gsponer,s’appuie sur une adaptation classique très proche de la version de 1993 (Michael Ray Rhodes). On retrouve avec plaisir des scènes identiques au plan près. La mise en scène revisite de façon presque davantage minutieuse tous les petits détails de la vie quotidienne à la fin du XIXe siècle à la ville et à la campagne, ce qui ne manque pas de faire sourire en de nombreux endroits, et rend les enfants très curieux (oui la salle était pleine à craquer de jeunes marmots peu habitués à voir des marmottes !). La très grande différence avec les versions précédentes réside dans la qualité spectaculaire des images. Des plans somptueux sur les alpages illuminent de toute part cette histoire connue et lui donnent un aspect nouveau. Avec une caméra précise recherchant une image raffinée, la réalisation a mis l’accent sur les petits détails, rajoutant ainsi quelques situations comiques.
Les personnages demeurent très fidèles à leurs précédents interprètes. Le grand-père paraît un peu plus détendu (et ce n’est au fond pas si mal !). On salue surtout la performance de la toute petite Anuk Steffen (Heidi), réussissant à garder son originalité sans tomber dans l’imitation, en revêtant notamment des traits un peu moins citadins et un peu plus sauvages que la plupart des comédiennes précédentes. Cela ne change pas véritablement le caractère très pur, très coloré et très innocent de ce bel hymne à la nature et à l’amour des enfants ! Ce remake procure une vraie bouffée d’air frais !
Toutes les familles, parents et enfants, apprécieront cette ultime interprétation cinématographique du roman éponyme de la suissesse Johanna Spyri édité en 1880 ! L’histoire de la petite orpheline Heidi venant attendrir le cœur de son grand-père tout là-haut dans la montagne, est toujours aussi efficace, de génération en génération. Ce dixième film sur Heidi (!), réalisé par le suisse Alain Gsponer,s’appuie sur une adaptation classique très proche de la version de 1993 (Michael Ray Rhodes). On retrouve avec plaisir des scènes identiques au plan près. La mise en scène revisite de façon presque davantage minutieuse tous les petits détails de la vie quotidienne à la fin du XIXe siècle à la ville et à la campagne, ce qui ne manque pas de faire sourire en de nombreux endroits, et rend les enfants très curieux (oui la salle était pleine à craquer de jeunes marmots peu habitués à voir des marmottes !). La très grande différence avec les versions précédentes réside dans la qualité spectaculaire des images. Des plans somptueux sur les alpages illuminent de toute part cette histoire connue et lui donnent un aspect nouveau. Avec une caméra précise recherchant une image raffinée, la réalisation a mis l’accent sur les petits détails, rajoutant ainsi quelques situations comiques.
Les personnages demeurent très fidèles à leurs précédents interprètes. Le grand-père paraît un peu plus détendu (et ce n’est au fond pas si mal !). On salue surtout la performance de la toute petite Anuk Steffen (Heidi), réussissant à garder son originalité sans tomber dans l’imitation, en revêtant notamment des traits un peu moins citadins et un peu plus sauvages que la plupart des comédiennes précédentes. Cela ne change pas véritablement le caractère très pur, très coloré et très innocent de ce bel hymne à la nature et à l’amour des enfants ! Ce remake procure une vraie bouffée d’air frais !