Voyons un peu… Comment résumer ce dernier Godzilla en quelques mots ? Voyons voir… Disons que Godzilla est une gigantesque claque d'effets spéciaux avec la fin la plus ridicule de l'histoire du cinéma… Oui, c'est ça…
Alors si vous voulez être scotchés sur vos sièges pendant deux bonnes heures, être au cœur de l'action, coller si près les naseaux du monstre que vous pourrez sentir la chaleur de son souffle, si vous voulez trembler devant les tours qui s'effondrent, vivre l'aventure aux côtés de Ford Brody et de toute l'armée américaine (n'oubliez jamais que nous, nous n'existons pas, sauf pour être sauvés par Mac Do), alors entrez dans cette salle de cinéma et prenez la beigne de votre vie. Parce que très rares sont les films qui m'ont soufflé à ce point !
J'ai donc voulu en savoir plus : les responsables de ce bijou sont Jim Rygiel, qui a déjà façonné Le Seigneur des anneaux - La terre du milieu, et John Dykstra, un pionnier qui a commencé sur La guerre des étoiles avant de s'éclater sur des titres aussi sympathiques que Star Trek I, Spider-Man, Inglourious Basterds ou Batman Forever. Du lourd, tout simplement...
Le casting est quant à lui excellent. Bien sûr, étant un très grand fan de la série Malcolm, j'ai eu beaucoup de mal à prendre Bryan Cranston au sérieux dans les premières images. C'est un excellent acteur, bien sûr, un des meilleurs peut-être, mais son ancien rôle le colle comme un tatouage ! Pourtant, mis dans des situations graves, il parvient à renverser la vapeur et s'en sort admirablement.
Puis vint Juliette Binoche, que je n'attendais pas (je ne lis jamais rien avant d'aller voir un film. J'organise ma virginité cérébrale quoi…). Ma première surprise passée, chapeau bas ! Son rôle à contre-emploi est endossé avec ferveur et brio. On pourrait parler des autres acteurs, bien sûr, comme l'incontournable star japonaise Ken Watanabe, mais on se contentera de mentionner le caméo d'Akira Takarada, qui n'apparaît que quelques minutes mais mérite d'être signalé puisqu'il tournait déjà dans le Godzilla de 1954 !
Le scénario donne la belle part au monstre. Sa venue est préparée avec tout le suspens qui se doit. Son apparition flatte à la fois les aficionados de la saga (dans sa lourdeur des mouvements, il est beaucoup plus fidèle au modèle original que celui du film de Roland Emmerich en 1998) et les amateurs d'effets spéciaux (encore eux !).
Fidèle à la ligne éditoriale de L'écran, on ne révélera pas cette fin la plus nulle de toute l'histoire du cinéma, mais dites-vous que détruire toute une ville n'attire pas forcément la haine de la population.
Jugez par vous-mêmes ! Hé hé hé !
Voyons un peu… Comment résumer ce dernier Godzilla en quelques mots ? Voyons voir… Disons que Godzilla est une gigantesque claque d'effets spéciaux avec la fin la plus ridicule de l'histoire du cinéma… Oui, c'est ça…
Alors si vous voulez être scotchés sur vos sièges pendant deux bonnes heures, être au cœur de l'action, coller si près les naseaux du monstre que vous pourrez sentir la chaleur de son souffle, si vous voulez trembler devant les tours qui s'effondrent, vivre l'aventure aux côtés de Ford Brody et de toute l'armée américaine (n'oubliez jamais que nous, nous n'existons pas, sauf pour être sauvés par Mac Do), alors entrez dans cette salle de cinéma et prenez la beigne de votre vie. Parce que très rares sont les films qui m'ont soufflé à ce point !
J'ai donc voulu en savoir plus : les responsables de ce bijou sont Jim Rygiel, qui a déjà façonné Le Seigneur des anneaux - La terre du milieu, et John Dykstra, un pionnier qui a commencé sur La guerre des étoiles avant de s'éclater sur des titres aussi sympathiques que Star Trek I, Spider-Man, Inglourious Basterds ou Batman Forever. Du lourd, tout simplement...
Le casting est quant à lui excellent. Bien sûr, étant un très grand fan de la série Malcolm, j'ai eu beaucoup de mal à prendre Bryan Cranston au sérieux dans les premières images. C'est un excellent acteur, bien sûr, un des meilleurs peut-être, mais son ancien rôle le colle comme un tatouage ! Pourtant, mis dans des situations graves, il parvient à renverser la vapeur et s'en sort admirablement.
Puis vint Juliette Binoche, que je n'attendais pas (je ne lis jamais rien avant d'aller voir un film. J'organise ma virginité cérébrale quoi…). Ma première surprise passée, chapeau bas ! Son rôle à contre-emploi est endossé avec ferveur et brio. On pourrait parler des autres acteurs, bien sûr, comme l'incontournable star japonaise Ken Watanabe, mais on se contentera de mentionner le caméo d'Akira Takarada, qui n'apparaît que quelques minutes mais mérite d'être signalé puisqu'il tournait déjà dans le Godzilla de 1954 !
Le scénario donne la belle part au monstre. Sa venue est préparée avec tout le suspens qui se doit. Son apparition flatte à la fois les aficionados de la saga (dans sa lourdeur des mouvements, il est beaucoup plus fidèle au modèle original que celui du film de Roland Emmerich en 1998) et les amateurs d'effets spéciaux (encore eux !).
Fidèle à la ligne éditoriale de L'écran, on ne révélera pas cette fin la plus nulle de toute l'histoire du cinéma, mais dites-vous que détruire toute une ville n'attire pas forcément la haine de la population.
Jugez par vous-mêmes ! Hé hé hé !