Connaissez-vous les récentes pubs télévisées pour orangina, avec toutes ces bêtes qui se déhanchent comme si la boisson était jouissive
et que les ours devenaient copains avec les biches sans les bouffer ? Retirez-y un peu de sensualité, ajoutez-y un décor de Far-West et vous obtenez, devinez quoi !.. Cendrillon au Far-West !
L'animation est certes un peu poussive et la bande musicale linéairement très mexicaine, mais quoi, cocorico, c'est français !
Rien qu'à la bande-annonce, on devinait que ce film n'aurait presque rien à voir avec le Cendrillon de Disney. C'est confirmé ! Les femmes du films sont très directives et n'ont pas la sournoiserie à laquelle nous sommes accoutumés. Elle intriguent, commandent et mènent le bal (sans mauvais jeu de mots). Le réalisateur a-t-il voulu donner une version féministe du conte ? En tout cas c'est une vision égalitariste&
nbsp;: Cendrillon, le garçon manqué, n'a rien à envier à la masculinité des cow-boys environnants, et la marâtre distribue les bourre-pifs à qui mieux mieux.
Comme les spécimens de race masculine, à l'instar du prince, sont très « fleur bleue » et pas très virils (à l'exception peut-être du singe qui sert de capitaine des Pirates), les femmes sont finalement des hommes comme les autres.
A noter que la façon pour le prince de retrouver sa bien-aimée est profondément changée. Non seulement il troque la chaussure en verre contre une... dent (!) perdue au cours d'une bagarre, mais en plus cette dent ne sera finalement d'aucune utilité puisque la donzelle trouve léger de s'engager pour la vie sur ce genre de détails.
Pas si bête finalement !..
Connaissez-vous les récentes pubs télévisées pour orangina, avec toutes ces bêtes qui se déhanchent comme si la boisson était jouissive et que les ours devenaient copains avec les biches sans les bouffer ? Retirez-y un peu de sensualité, ajoutez-y un décor de Far-West et vous obtenez, devinez quoi !.. Cendrillon au Far-West !
L'animation est certes un peu poussive et la bande musicale linéairement très mexicaine, mais quoi, cocorico, c'est français !
Rien qu'à la bande-annonce, on devinait que ce film n'aurait presque rien à voir avec le Cendrillon de Disney. C'est confirmé ! Les femmes du films sont très directives et n'ont pas la sournoiserie à laquelle nous sommes accoutumés. Elle intriguent, commandent et mènent le bal (sans mauvais jeu de mots). Le réalisateur a-t-il voulu donner une version féministe du conte ? En tout cas c'est une vision égalitariste& nbsp;: Cendrillon, le garçon manqué, n'a rien à envier à la masculinité des cow-boys environnants, et la marâtre distribue les bourre-pifs à qui mieux mieux.
Comme les spécimens de race masculine, à l'instar du prince, sont très « fleur bleue » et pas très virils (à l'exception peut-être du singe qui sert de capitaine des Pirates), les femmes sont finalement des hommes comme les autres.
A noter que la façon pour le prince de retrouver sa bien-aimée est profondément changée. Non seulement il troque la chaussure en verre contre une... dent (!) perdue au cours d'une bagarre, mais en plus cette dent ne sera finalement d'aucune utilité puisque la donzelle trouve léger de s'engager pour la vie sur ce genre de détails.
Pas si bête finalement !..