Et c'est reparti pour un tour. Zoolander, caricature vivante des mannequins masculins et originellement prévu pour une série télé, revient tout look dehors pour déjouer les plans d'un nouveau grand méchant pas si nouveau que ça.
Pour ceux qui, comme moi, ont du mal à supporter les mimiques préfabriquées du personnage, le film est quasi-insoutenable. Pour les autres nul doute que cette parodie présente, dans les interstices, des aspects intéressants, comme la critique du milieu de la haute couture par exemple, à l'instar du premier opus.
Certains passages peuvent être assez drôles, mais pas de quoi se tenir les cotes.
Le film est d'ailleurs assez irrévérencieux : rabbin bargeot, Christ parodié, zoophilie assumée, homosexualité... Tout y passe ou presque, comme si le film voulait dénoncer l'excessivité par l'excessivité. À moins qu'il ne s'amuse sans rien dénoncer du tout, ce qui ne serait même pas étonnant...
Pour ce film, Ben Stiller s'entoure de guest stars du monde de la mode, comme Anna Wintour qui fit déjà l'objet du fameux film Le diable s'habille en Prada. Les références pullulent et raviront les connaisseurs, tandis que les autres assisteront impuissants à un pathétique déluge de superficialité.
Et c'est reparti pour un tour. Zoolander, caricature vivante des mannequins masculins et originellement prévu pour une série télé, revient tout look dehors pour déjouer les plans d'un nouveau grand méchant pas si nouveau que ça.
Pour ceux qui, comme moi, ont du mal à supporter les mimiques préfabriquées du personnage, le film est quasi-insoutenable. Pour les autres nul doute que cette parodie présente, dans les interstices, des aspects intéressants, comme la critique du milieu de la haute couture par exemple, à l'instar du premier opus.
Certains passages peuvent être assez drôles, mais pas de quoi se tenir les cotes.
Le film est d'ailleurs assez irrévérencieux : rabbin bargeot, Christ parodié, zoophilie assumée, homosexualité... Tout y passe ou presque, comme si le film voulait dénoncer l'excessivité par l'excessivité. À moins qu'il ne s'amuse sans rien dénoncer du tout, ce qui ne serait même pas étonnant...
Pour ce film, Ben Stiller s'entoure de guest stars du monde de la mode, comme Anna Wintour qui fit déjà l'objet du fameux film Le diable s'habille en Prada. Les références pullulent et raviront les connaisseurs, tandis que les autres assisteront impuissants à un pathétique déluge de superficialité.