Et hop, encore un film d’invasion extraterrestre, c’est de nouveau à la mode ! Après World invasion :
Battle Los Angeles de Jonathan Liebesman, Skyline de Colin et Greg Strause ou encore Cow-boys and aliens de Jon Favreau, voici Battleship de Peter Berg, en fait l’adaptation au cinéma du célèbre jeu « Bataille navale », commercialisé en 1931. Idée à priori saugrenue, mais qui trouve finalement très bien sa place dans le monde du blockbuster hollywoodien. Déjà réalisateur de Hancock et Le Royaume, Peter Berg livre un produit fonctionnel, totalement formaté, mais indéniablement efficace. Superproduction oblige, le spectaculaire et l’action sont de mise, parfaitement assurés par des effets spéciaux et pyrotechniques à la hauteur. Le scénario est prévisible d’un bout à l’autre et respecte scrupuleusement le cahier des charges. On pense beaucoup à la saga Transformers, d’ailleurs c’est
le même producteur, Hasbro, qui est à l’origine des deux films. Quant au casting, eh bien pas de surprise non plus : Taylor Kitsch (également à l’affiche de John Carter de Andrew Stanton dans le rôle-titre) fait correctement son boulot de héro, Rihanna joue aussi bien que dans ses clips et Liam Neeson fait de la quasi-figuration avec un quart d’heure de présence à l’écran maximum. On a également droit au cliché du héros, raté et irresponsable au début, qui se rachète une conduite dans le feu des événements pour honorer la mémoire de son frère mort. Parmi les points positifs, le film se permet un sympathique hommage aux anciens combattants (lesquels sont interprétés dans le film par d’authentiques vétérans de la marine) et entretient une certaine tension durant la dernière demi-heure. Il n’é
vite néanmoins pas toujours le ridicule, notamment du combat au corps à corps entre un alien (un humanoïde en armure indestructible d’environ deux mètres) et un marine américain amputé des deux jambes sur prothèses ! Pour autant, le film ne rebutera certainement pas les fans du genre (nombreux si l’on en croit les succès des différents blockbusters du même type) et constitue même un agréable divertissement familial.
Et hop, encore un film d’invasion extraterrestre, c’est de nouveau à la mode ! Après World invasion : Battle Los Angeles de Jonathan Liebesman, Skyline de Colin et Greg Strause ou encore Cow-boys and aliens de Jon Favreau, voici Battleship de Peter Berg, en fait l’adaptation au cinéma du célèbre jeu « Bataille navale », commercialisé en 1931. Idée à priori saugrenue, mais qui trouve finalement très bien sa place dans le monde du blockbuster hollywoodien. Déjà réalisateur de Hancock et Le Royaume, Peter Berg livre un produit fonctionnel, totalement formaté, mais indéniablement efficace. Superproduction oblige, le spectaculaire et l’action sont de mise, parfaitement assurés par des effets spéciaux et pyrotechniques à la hauteur. Le scénario est prévisible d’un bout à l’autre et respecte scrupuleusement le cahier des charges. On pense beaucoup à la saga Transformers, d’ailleurs c’est le même producteur, Hasbro, qui est à l’origine des deux films. Quant au casting, eh bien pas de surprise non plus : Taylor Kitsch (également à l’affiche de John Carter de Andrew Stanton dans le rôle-titre) fait correctement son boulot de héro, Rihanna joue aussi bien que dans ses clips et Liam Neeson fait de la quasi-figuration avec un quart d’heure de présence à l’écran maximum. On a également droit au cliché du héros, raté et irresponsable au début, qui se rachète une conduite dans le feu des événements pour honorer la mémoire de son frère mort. Parmi les points positifs, le film se permet un sympathique hommage aux anciens combattants (lesquels sont interprétés dans le film par d’authentiques vétérans de la marine) et entretient une certaine tension durant la dernière demi-heure. Il n’é vite néanmoins pas toujours le ridicule, notamment du combat au corps à corps entre un alien (un humanoïde en armure indestructible d’environ deux mètres) et un marine américain amputé des deux jambes sur prothèses ! Pour autant, le film ne rebutera certainement pas les fans du genre (nombreux si l’on en croit les succès des différents blockbusters du même type) et constitue même un agréable divertissement familial.