Le célèbre duo Kad et Olivier pousse les limites de la parodie à un point qu’on n’aurait peut-être pas imaginé : l’humour absurde, les gags loufoques, les répétitions à outrance, les références à leur propre passé de comiques et à leurs sketchs, les situations invraisemblables, les faux raccords, les clichés, la mise en scène du film en train de se faire … Bref, apparemment rien n’aura été épargné pour nous servir l’humour le plus lourd possible ! L'absurde et le burlesque se font des échos qui durent, qui durent, qui durent…
La belle performance d’une heure et demie de gags accumulés coups sur coups ainsi que les éclats de rire des spectateurs prouveront que « Kad et O » maîtrisent toujours avec autant de charisme leur humour – une forme d’humour tout de même un peu spéciale, convenons- en !
Il n’aurait peut-être pas été superflu de limiter les « autoréférences » dans lesquelles se complaisent les comédiens, ou bien encore le comique de répétition, lassant – ça passe pour un sketch, mais lorsque le sketch se transforme en long métrage, il devient longuet…
Comme dans la plupart des parodies, même les valeurs sont traitées avec cynisme. Ainsi, le film fustige, sans en avoir l'air, l'arrivisme et les minets de bureaux, le peu de considération pour les vieux agents bedonnants mais expérimentés. Et, surtout, il décide de gifler le « french bashing » avec une insolence désopilante (en témoigne cette version de l'hymne américain qui fera rire les coqs et hurler les aigles...).
Le célèbre duo Kad et Olivier pousse les limites de la parodie à un point qu’on n’aurait peut-être pas imaginé : l’humour absurde, les gags loufoques, les répétitions à outrance, les références à leur propre passé de comiques et à leurs sketchs, les situations invraisemblables, les faux raccords, les clichés, la mise en scène du film en train de se faire … Bref, apparemment rien n’aura été épargné pour nous servir l’humour le plus lourd possible ! L'absurde et le burlesque se font des échos qui durent, qui durent, qui durent…
La belle performance d’une heure et demie de gags accumulés coups sur coups ainsi que les éclats de rire des spectateurs prouveront que « Kad et O » maîtrisent toujours avec autant de charisme leur humour – une forme d’humour tout de même un peu spéciale, convenons- en !
Il n’aurait peut-être pas été superflu de limiter les « autoréférences » dans lesquelles se complaisent les comédiens, ou bien encore le comique de répétition, lassant – ça passe pour un sketch, mais lorsque le sketch se transforme en long métrage, il devient longuet…
Comme dans la plupart des parodies, même les valeurs sont traitées avec cynisme. Ainsi, le film fustige, sans en avoir l'air, l'arrivisme et les minets de bureaux, le peu de considération pour les vieux agents bedonnants mais expérimentés. Et, surtout, il décide de gifler le « french bashing » avec une insolence désopilante (en témoigne cette version de l'hymne américain qui fera rire les coqs et hurler les aigles...).